La Salle De Bain

La porte mène sur le salon.

La salle de bain n'est pas très spacieuse.
On y trouve en face de la porte un meuble avec deux placards, un lavabo et un mirroir.
A droite, une baignoire et un porte seviette.

J'entendis ses paroles et faillis dégommer la porte en espérant lui crever un œil avec une brèche. Comment il ose jouer avec moi de la sorte ! Je lui ai déjà dit que je détestais qu'il me traite comme un de ses "sextoys" non ?! Je me fis couler un bain et doucement me glisse dedans. J'essaye de me détendre au maximum.

Je me lève du lit et ouvr violement la porte de la sale de bain.
C'est pratique les portes sen verou U_U
Je sourit trionphant et maproche de le baignoire. Je massoie a genoux a coté et pose mon menton sur le rebord.
Je regarde Shun droit dans les yeux

- Allez boude pas, tu sais que je t'aime plus que tout.

Je prends mes genoux entre mes bras et lui tourne autant que possible le dos.

- Shun ... soufflais je douloureusement.

M'aime tu vraiment shun

A l'entente de mon nom prononcé avec cette voie je baisse la tête, tel un enfant craignant de se faire réprimander sauf que je n'avais pas peur. J'étais juste blessé. Légèrement égratigné.

Je le regarde tristement puis me lève doucement, seul le clapotis de l'eau et le plissement de mes vetements se fait entendre.
J'ouvre la porte et sort de la pièce.

J'entends ses pas s'éloigner et je plonge totalement dans l'eau, faisant de l'apnée. Je reste le plus longtemps possible dans l'eau, elle qui m'a toujours réconfortée. Je ressorts la tête, reprends ma respiration et recommence. Me sentir ainsi enveloppé de chaleur et de douceur m'a toujours apaisé lorsque je n'allais pas bien, presque plus que le contact humain. Je suis tellement exigeant. Je sors encore pour respirer et recommence. L'eau permet de tout nettoyer, de tout cacher : les larmes, le sang. Elle remplis tout : les poumons, la peau. Et elle est si inaccessible, on ne peut la retenir. Je ressort et pose cette fois ma tête sur le rebord, les cheveux m'empêchant d'ouvrir les yeux et dégoulinant sur mon visage.

Je recule de quelques pas pour atteindre la baignoire, j'auvre le robiné, et l'eau commence a remplir le récipiant.
Je me laisse faire par ce Shun qui prend les devant, j'adore. Mon pantalon commence à se serrer, mais il n'as pas l'air de vouloir soccuper de cette bosse qui c'est formée.

Mes mains parcourent son torse avant d'être rejoint par ma langue alors que je sent doucement une bosse se former dans son jean. J'en profite alors pour lâcher un petit gémissement d'approbation qui fait frissonner sa peau pour ensuite caler mon genoux entre ses jambes et stimuler cette bosse de ma cuisse. Ma langue s'active de plus en plus sur ses boutons de chair dressés en jouant de ma langue et en les mordillant lorsque l'envie me prend. Mes mains descendent ensuite vers ses abdos pour en dessiner les contours et joue de façon sulfureuse avec son nombril lui gémissant à l'oreille :

- C'est ce qui t'attends.

Avant de replonger dans son cou offert.

- J'aime vraiment ... quand tu prends les devants, murmurais je a son oreille.

Je me laisse faire pour linsant, je le laisse esprer qu'il sera seme, mais faut pas trop rever non plus, JE serais le dominant.
Il parcourt mon torse, j'en ai des frissons. Il évite mes lèvres, j'ai bien remarqué son petit manège. Je le laisse joué, samuser, je lui doit bien ca, pour toutes les fois ou c'est moi qui usais de sa patience.

Je continue mon manège encore un peu avant de fermer le robinet pour pas que le bain ne déborde. Je cherche ensuite les produits, le délaissant, comme si de rien était, malgré mes regards aguicheurs. Lorsque je retourne vers lui, j'ouvre sensuellement le bouton de son pantalon et sa braguette tout en le regardant droit dans les yeux avec une pointe de défis. Je masse alors avec plus d'insistance cette partie si sensible de son anatomie à travers le tissus pendant que je retourne pincer et mordre son torse et son cou, m'amusant particulièrement avec le lobe de son oreille, prjettant mon souffle dans son cou et le sentant frissonner.

Je me relève finalement, ne tenant plus, je lattrape par les épaule et le soulève un peu. Il se débat et jai du mal a le tenir contre moi.
Je le pousse donc dans la baigoire pleine alors qu'il est preqque totalement habllillé. Je le rejoins rapidement, minstallant sur lui, sans pour autant le couller.

- Aahhhh Mais t'es malade !

J'ai du mal à bouger avec mes vêtements. Si le bain était plus profond je coulerais sous le poids de mes habits. Il se retrouve maintenant sur moi. Je le regarde avec une colère contenue. C'est injuste ! Il n'a pas le droit. Je me redresse légèrement et continue. Pour la peine je ne le laisse pas m'embrasser, fermant fortement mes dents, et continue de torturer la peau de son torse et de ses abdos. S'il avait attendus ne serais-ce que 2 minutes il aurait pu se sentir beaucoup moins à l'étroit en se moment.

Je ris doucement

- Oui, je suis malade, malade damour pour toi

- Sa ne suffira pas à sauver tes fesses ! Lui dis-je provocateur.

Je fini alors de défaire son jean pour prendre sa hampe entre mes mains et commencer des mouvements de va et viens tout en marquant plus que jamais son cou.

- C'est tes fesses ... qui vont morflé, murmurai je entre deux gémissement.

Sa c'est ce qu'il pense car il va avoir bien du mal à me déshabiller plus. Et puisqu'il est au-dessus se sera bien plus compliquer. Finalement son impatience m'as donné un avantage certain. Maintenant il est question de ne pas le perdre. Mes mouvements s'accélèrent progressivement alors que sa voix se fait entendre et son souffle plus saccadé. Ne pouvant totalement le contenter avec ma position et l'eau je gémis doucement à son oreille, répercutant mon souffle chaud sur son cou mouillé. Ma voix s'accorde à la sienne, se faisant de plus en lpus rauque et sensuelle.

Je jouis finalement dans sa main et dans l'eau.
Malgrès le fait que je me sois libéré, mon sexe et encore dur et tendu.
J'eassaye d'enlever le T-shirt de mon amant mais étant mouillé, jai beaucoup de difficluté. Il cole à sa peau, mais j'y arrive finalement.
Je lèche avidement son torse, mordille ses boutons de chairs durcis.
Puis je me redresse pour le contempler.
Il est magnifique.
Ses cheveux ébènes mouillés collent à sa peau et cachent un peu ses yeux voilés. ses joues sont rosies et les gottes d'eau roulent sur son torse finement dessiné.

- Magnifique

- Tu peux parler toi ! On dirait que tu t'es pas vu. Mais tu ne m'enlèvera pas plus. Dis-je en lui tirant la langue.

Je descend son pantalon au maximum et commence à masser ses fesses tout en en titillant la raie. Je commence alors à me sentir sérieusement à l'étroit dans mon jean. Son corps est si chaud contre le mien, totalement détendu par l'eau. C'est tout de même frustrant de ne pas pouvoir bouger ! Je me décide enfin à frôler doucement ses lèvres, mimant le fait de les mordre à pleine dent pour ensuite m'écarter avant qu'elles ne se rencontres. Je veut le mener à bout. Lorsque je suis dominant, comme cela arrive très rarement, il est totalement normal que j'aime et ai envie d'entendre ses suppliques rauques et gémissantes, son visage montrant déjà son excitation.

Je souris perversement. Nos échanges ne sont qu'un combat pour être le dominant. Je le veux, lui aussi.
J'attrape viollement son visage entre mes mains, je lui lèche les lèvres sans pour autant l'embrasser. Il fait tout pour éviter que nos lèves se rencontrent, alors je l'aide dans son petit jeux.
Je pose une main sur son pantalon détrempé et caresse doucement la bosse de son entre jambe.

- Pas trop à l'étroit ?

Je lui souris très largement en lui répondant :
- Je le serais plus une fois à l'intérieur, ne te soucis pas trop de moi.

Je dis cela tout en dirigeant mon doigts pour titiller son anneau de chair sans pour autant le pénétrer. Il me provoque de sa langue ? Je sors tout simplement la mienne alors qu'elles effectuent un balais hors de nous, se liant avec force, presque violence. Je glisse alors d'un coup vers lui dans la baignoire, faisant rencontrer son hampes à travers le tissus. La sienne toujours fièrement érigée. Je fais alors pénétrer doucement mon doigts, le désir et l'eau aidant.

Je gémis doucement, mordant la chair fraiche de son cou.
Effectuant ses mouvements de bassin pour impregner plus profondement en moi ses doigts.
Mon erection frotte le tissu qui cache la sienne. Le tissu nest pas très doux, ce qui rend le geste peu argréable, mais procure une sensation nouvelle.

Je me décale lentement pour, avec son aide, baisser au maximum mon pantalon, pouvant enfin ressentir la peau de l'autre plus proche de la mienne. Je le sent dans mon cou et le laisse lui aussi me marquer alors que j'insère un autre doigt en lui. Mes gémissements commencent à se faire entendre alors que ma respiration se fait nettement plus difficile.

J'attrape son sexe tendu entre mes doigts et commence un mouvement de pompe.
j'accelère progressivement, devenant limite violent.
Mes mouvements de basin accompagnent mes mouvement de poignées.
Je sens qu'il va venir dans tres peu de temps

» Salle de bain.
» La Salle De Bain
» La Salle des Fêtes
» La Salle des Concerts
» Salle de Séjour