Histoire sans fin

Un jour en pleine nuit un homme est apparu. Je me fige et sors mon pistolet, à la vue de l'arme il sursaute. Mon doigt se pose sur la détente mais je ne tire pas, mon regard se voile de dégoût face a cet homme que je hais tant et il détourne le regard. Je m'approche de lui, mon bras toujours tendu vers lui, prêt à tirer à n'importe quel moment. J'appuie enfin sur la détente avant qu'il est pût faire un geste. Je vois le corps tomber comme au ralenti, jusqu'à ce qu'il s'écrase sur le sol en un bruit sourd. Je le regarde encore quelques instants avant de partir. J'ai fait ce qu'il fallait faire pour le monde entier. Je sors stoïquement de la ruelle pour rentrer chez moi sans aucun état d'âme. Arrivé à destination, le cours normal de ma vie reprend. Je me dirige vers la cuisine et commence à préparer à manger. Je prend une poêle et fait sauter des crêpes, puis m'installe à la table pour les déguster , j'allume la télé et je vois que les informations parlent déjà de la personne que j'ai tuée . J'ai fini mes crêpes et je continue de regarder la télé ... même s'il n'y a que des émissions nules. Je finis par aller me coucher dans une couette bien chaude, et m'endors en peu de temps , sans me soucier du mort qui doit être en train de pourrir à la morgue . Je me réveillais le matin et j'allais aux toilettes, puis pris mon petit déjeuner, en silence.
Je sortis dehors pour promener mon chien. Il senti une présence lorsque j'étais rentré dans le centre-ville. J'était essoufflé car j'avais couru pour échapper à cette présence. Je mis mes mains dans les poches et sentis cette arme avec laquelle j'avais tué la veille. Je vis un chat, et pour tester ma précision, je lui tirai dessus à balle réelle. Elle l'atteignit en plein cœur , le chat s'effondra dans une marre de sang. Je range mon arme, et rentre chez moi avec mon chien. Il a le regard larmoyant, je lui donne donc des croquettes. Il se jette dessus. Mon téléphone se met alors à sonner. Je décroche, c'est ma partenaire. Elle est très belle, mais je n'ai pas le temps de me perdre dans mes réflections qu'elle me propose une nouvelle mission. Je suis sensé voler un tableau dans un grand musée. Mais je ne savais pas où ce dernier se situait. Elle m'expliqua donc la route à suivre avec précision. Une fois le musée atteint j'inspectais les environs du regard. Plusieurs gardes étaient présents

Un jour en pleine nuit un homme est apparu. Je me fige et sors mon pistolet, à la vue de l'arme il sursaute. Mon doigt se pose sur la détente mais je ne tire pas, mon regard se voile de dégoût face a cet homme que je hais tant et il détourne le regard. Je m'approche de lui, mon bras toujours tendu vers lui, prêt à tirer à n'importe quel moment. J'appuie enfin sur la détente avant qu'il est pût faire un geste. Je vois le corps tomber comme au ralenti, jusqu'à ce qu'il s'écrase sur le sol en un bruit sourd. Je le regarde encore quelques instants avant de partir. J'ai fait ce qu'il fallait faire pour le monde entier. Je sors stoïquement de la ruelle pour rentrer chez moi sans aucun état d'âme. Arrivé à destination, le cours normal de ma vie reprend. Je me dirige vers la cuisine et commence à préparer à manger. Je prend une poêle et fait sauter des crêpes, puis m'installe à la table pour les déguster , j'allume la télé et je vois que les informations parlent déjà de la personne que j'ai tuée . J'ai fini mes crêpes et je continue de regarder la télé ... même s'il n'y a que des émissions nules. Je finis par aller me coucher dans une couette bien chaude, et m'endors en peu de temps , sans me soucier du mort qui doit être en train de pourrir à la morgue . Je me réveillais le matin et j'allais aux toilettes, puis pris mon petit déjeuner, en silence.
Je sortis dehors pour promener mon chien. Il senti une présence lorsque j'étais rentré dans le centre-ville. J'était essoufflé car j'avais couru pour échapper à cette présence. Je mis mes mains dans les poches et sentis cette arme avec laquelle j'avais tué la veille. Je vis un chat, et pour tester ma précision, je lui tirai dessus à balle réelle. Elle l'atteignit en plein cœur , le chat s'effondra dans une marre de sang. Je range mon arme, et rentre chez moi avec mon chien. Il a le regard larmoyant, je lui donne donc des croquettes. Il se jette dessus. Mon téléphone se met alors à sonner. Je décroche, c'est ma partenaire. Elle est très belle, mais je n'ai pas le temps de me perdre dans mes réflections qu'elle me propose une nouvelle mission. Je suis sensé voler un tableau dans un grand musée. Mais je ne savais pas où ce dernier se situait. Elle m'expliqua donc la route à suivre avec précision. Une fois le musée atteint j'inspectais les environs du regard. Plusieurs gardes étaient présents, il me faudrait donc passer par le toit.

Un jour en pleine nuit un homme est apparu. Je me fige et sors mon pistolet, à la vue de l'arme il sursaute. Mon doigt se pose sur la détente mais je ne tire pas, mon regard se voile de dégoût face a cet homme que je hais tant et il détourne le regard. Je m'approche de lui, mon bras toujours tendu vers lui, prêt à tirer à n'importe quel moment. J'appuie enfin sur la détente avant qu'il est pût faire un geste. Je vois le corps tomber comme au ralenti, jusqu'à ce qu'il s'écrase sur le sol en un bruit sourd. Je le regarde encore quelques instants avant de partir. J'ai fait ce qu'il fallait faire pour le monde entier. Je sors stoïquement de la ruelle pour rentrer chez moi sans aucun état d'âme. Arrivé à destination, le cours normal de ma vie reprend. Je me dirige vers la cuisine et commence à préparer à manger. Je prend une poêle et fait sauter des crêpes, puis m'installe à la table pour les déguster , j'allume la télé et je vois que les informations parlent déjà de la personne que j'ai tuée . J'ai fini mes crêpes et je continue de regarder la télé ... même s'il n'y a que des émissions nulles. Je finis par aller me coucher dans une couette bien chaude, et m'endors en peu de temps , sans me soucier du mort qui doit être en train de pourrir à la morgue . Je me réveillais le matin et j'allais aux toilettes, puis pris mon petit déjeuner, en silence.
Je sortis dehors pour promener mon chien. Il senti une présence lorsque j'étais rentré dans le centre-ville. J'étais essoufflé car j'avais couru pour échapper à cette présence. Je mis mes mains dans les poches et sentis cette arme avec laquelle j'avais tué la veille. Je vis un chat, et pour tester ma précision, je lui tirai dessus à balle réelle. Elle l'atteignit en plein cœur , le chat s'effondra dans une marre de sang. Je range mon arme, et rentre chez moi avec mon chien. Il a le regard larmoyant, je lui donne donc des croquettes. Il se jette dessus. Mon téléphone se met alors à sonner. Je décroche, c'est ma partenaire. Elle est très belle, mais je n'ai pas le temps de me perdre dans mes réflections qu'elle me propose une nouvelle mission. Je suis sensé voler un tableau dans un grand musée. Mais je ne savais pas où ce dernier se situait. Elle m'expliqua donc la route à suivre avec précision. Une fois le musée atteint j'inspectais les environs du regard. Plusieurs gardes étaient présents, il me faudrait donc passer par le toit. Je prend mon grappin

(le vieux truc ................ ptdr pardon )

Un jour en pleine nuit un homme est apparu. Je me fige et sors mon pistolet, à la vue de l'arme il sursaute. Mon doigt se pose sur la détente mais je ne tire pas, mon regard se voile de dégoût face a cet homme que je hais tant et il détourne le regard. Je m'approche de lui, mon bras toujours tendu vers lui, prêt à tirer à n'importe quel moment. J'appuie enfin sur la détente avant qu'il est pût faire un geste. Je vois le corps tomber comme au ralenti, jusqu'à ce qu'il s'écrase sur le sol en un bruit sourd. Je le regarde encore quelques instants avant de partir. J'ai fait ce qu'il fallait faire pour le monde entier. Je sors stoïquement de la ruelle pour rentrer chez moi sans aucun état d'âme. Arrivé à destination, le cours normal de ma vie reprend. Je me dirige vers la cuisine et commence à préparer à manger. Je prend une poêle et fait sauter des crêpes, puis m'installe à la table pour les déguster , j'allume la télé et je vois que les informations parlent déjà de la personne que j'ai tuée . J'ai fini mes crêpes et je continue de regarder la télé ... même s'il n'y a que des émissions nulles. Je finis par aller me coucher dans une couette bien chaude, et m'endors en peu de temps , sans me soucier du mort qui doit être en train de pourrir à la morgue . Je me réveillais le matin et j'allais aux toilettes, puis pris mon petit déjeuner, en silence.
Je sortis dehors pour promener mon chien. Il senti une présence lorsque j'étais rentré dans le centre-ville. J'étais essoufflé car j'avais couru pour échapper à cette présence. Je mis mes mains dans les poches et sentis cette arme avec laquelle j'avais tué la veille. Je vis un chat, et pour tester ma précision, je lui tirai dessus à balle réelle. Elle l'atteignit en plein cœur , le chat s'effondra dans une marre de sang. Je range mon arme, et rentre chez moi avec mon chien. Il a le regard larmoyant, je lui donne donc des croquettes. Il se jette dessus. Mon téléphone se met alors à sonner. Je décroche, c'est ma partenaire. Elle est très belle, mais je n'ai pas le temps de me perdre dans mes réflections qu'elle me propose une nouvelle mission. Je suis sensé voler un tableau dans un grand musée. Mais je ne savais pas où ce dernier se situait. Elle m'expliqua donc la route à suivre avec précision. Une fois le musée atteint j'inspectais les environs du regard. Plusieurs gardes étaient présents, il me faudrait donc passer par le toit. Je prend mon grappin, mais remarque qu'il y a des alarmes sur les murs, il ne me servira donc a rien.

Un jour en pleine nuit un homme est apparu. Je me fige et sors mon pistolet, à la vue de l'arme il sursaute. Mon doigt se pose sur la détente mais je ne tire pas, mon regard se voile de dégoût face a cet homme que je hais tant et il détourne le regard. Je m'approche de lui, mon bras toujours tendu vers lui, prêt à tirer à n'importe quel moment. J'appuie enfin sur la détente avant qu'il est pût faire un geste. Je vois le corps tomber comme au ralenti, jusqu'à ce qu'il s'écrase sur le sol en un bruit sourd. Je le regarde encore quelques instants avant de partir. J'ai fait ce qu'il fallait faire pour le monde entier. Je sors stoïquement de la ruelle pour rentrer chez moi sans aucun état d'âme. Arrivé à destination, le cours normal de ma vie reprend. Je me dirige vers la cuisine et commence à préparer à manger. Je prend une poêle et fait sauter des crêpes, puis m'installe à la table pour les déguster , j'allume la télé et je vois que les informations parlent déjà de la personne que j'ai tuée . J'ai fini mes crêpes et je continue de regarder la télé ... même s'il n'y a que des émissions nulles. Je finis par aller me coucher dans une couette bien chaude, et m'endors en peu de temps , sans me soucier du mort qui doit être en train de pourrir à la morgue . Je me réveillais le matin et j'allais aux toilettes, puis pris mon petit déjeuner, en silence.
Je sortis dehors pour promener mon chien. Il senti une présence lorsque j'étais rentré dans le centre-ville. J'étais essoufflé car j'avais couru pour échapper à cette présence. Je mis mes mains dans les poches et sentis cette arme avec laquelle j'avais tué la veille. Je vis un chat, et pour tester ma précision, je lui tirai dessus à balle réelle. Elle l'atteignit en plein cœur , le chat s'effondra dans une marre de sang. Je range mon arme, et rentre chez moi avec mon chien. Il a le regard larmoyant, je lui donne donc des croquettes. Il se jette dessus. Mon téléphone se met alors à sonner. Je décroche, c'est ma partenaire. Elle est très belle, mais je n'ai pas le temps de me perdre dans mes réflections qu'elle me propose une nouvelle mission. Je suis sensé voler un tableau dans un grand musée. Mais je ne savais pas où ce dernier se situait. Elle m'expliqua donc la route à suivre avec précision. Une fois le musée atteint j'inspectais les environs du regard. Plusieurs gardes étaient présents, il me faudrait donc passer par le toit. Je prend mon grappin, mais remarque qu'il y a des alarmes sur les murs, il ne me servira donc a rien. J'appelle donc ma partenaire

Un jour en pleine nuit un homme est apparu. Je me fige et sors mon pistolet, à la vue de l'arme il sursaute. Mon doigt se pose sur la détente mais je ne tire pas, mon regard se voile de dégoût face a cet homme que je hais tant et il détourne le regard. Je m'approche de lui, mon bras toujours tendu vers lui, prêt à tirer à n'importe quel moment. J'appuie enfin sur la détente avant qu'il est pût faire un geste. Je vois le corps tomber comme au ralenti, jusqu'à ce qu'il s'écrase sur le sol en un bruit sourd. Je le regarde encore quelques instants avant de partir. J'ai fait ce qu'il fallait faire pour le monde entier. Je sors stoïquement de la ruelle pour rentrer chez moi sans aucun état d'âme. Arrivé à destination, le cours normal de ma vie reprend. Je me dirige vers la cuisine et commence à préparer à manger. Je prend une poêle et fait sauter des crêpes, puis m'installe à la table pour les déguster , j'allume la télé et je vois que les informations parlent déjà de la personne que j'ai tuée . J'ai fini mes crêpes et je continue de regarder la télé ... même s'il n'y a que des émissions nulles. Je finis par aller me coucher dans une couette bien chaude, et m'endors en peu de temps , sans me soucier du mort qui doit être en train de pourrir à la morgue . Je me réveillais le matin et j'allais aux toilettes, puis pris mon petit déjeuner, en silence.
Je sortis dehors pour promener mon chien. Il senti une présence lorsque j'étais rentré dans le centre-ville. J'étais essoufflé car j'avais couru pour échapper à cette présence. Je mis mes mains dans les poches et sentis cette arme avec laquelle j'avais tué la veille. Je vis un chat, et pour tester ma précision, je lui tirai dessus à balle réelle. Elle l'atteignit en plein cœur , le chat s'effondra dans une marre de sang. Je range mon arme, et rentre chez moi avec mon chien. Il a le regard larmoyant, je lui donne donc des croquettes. Il se jette dessus. Mon téléphone se met alors à sonner. Je décroche, c'est ma partenaire. Elle est très belle, mais je n'ai pas le temps de me perdre dans mes réflections qu'elle me propose une nouvelle mission. Je suis sensé voler un tableau dans un grand musée. Mais je ne savais pas où ce dernier se situait. Elle m'expliqua donc la route à suivre avec précision. Une fois le musée atteint j'inspectais les environs du regard. Plusieurs gardes étaient présents, il me faudrait donc passer par le toit. Je prend mon grappin, mais remarque qu'il y a des alarmes sur les murs, il ne me servira donc a rien. J'appelle donc ma partenaire pour la prévenir ...

Un jour en pleine nuit un homme est apparu. Je me fige et sors mon pistolet, à la vue de l'arme il sursaute. Mon doigt se pose sur la détente mais je ne tire pas, mon regard se voile de dégoût face a cet homme que je hais tant et il détourne le regard. Je m'approche de lui, mon bras toujours tendu vers lui, prêt à tirer à n'importe quel moment. J'appuie enfin sur la détente avant qu'il est pût faire un geste. Je vois le corps tomber comme au ralenti, jusqu'à ce qu'il s'écrase sur le sol en un bruit sourd. Je le regarde encore quelques instants avant de partir. J'ai fait ce qu'il fallait faire pour le monde entier. Je sors stoïquement de la ruelle pour rentrer chez moi sans aucun état d'âme. Arrivé à destination, le cours normal de ma vie reprend. Je me dirige vers la cuisine et commence à préparer à manger. Je prend une poêle et fait sauter des crêpes, puis m'installe à la table pour les déguster , j'allume la télé et je vois que les informations parlent déjà de la personne que j'ai tuée . J'ai fini mes crêpes et je continue de regarder la télé ... même s'il n'y a que des émissions nulles. Je finis par aller me coucher dans une couette bien chaude, et m'endors en peu de temps , sans me soucier du mort qui doit être en train de pourrir à la morgue . Je me réveillais le matin et j'allais aux toilettes, puis pris mon petit déjeuner, en silence.
Je sortis dehors pour promener mon chien. Il senti une présence lorsque j'étais rentré dans le centre-ville. J'étais essoufflé car j'avais couru pour échapper à cette présence. Je mis mes mains dans les poches et sentis cette arme avec laquelle j'avais tué la veille. Je vis un chat, et pour tester ma précision, je lui tirai dessus à balle réelle. Elle l'atteignit en plein cœur , le chat s'effondra dans une marre de sang. Je range mon arme, et rentre chez moi avec mon chien. Il a le regard larmoyant, je lui donne donc des croquettes. Il se jette dessus. Mon téléphone se met alors à sonner. Je décroche, c'est ma partenaire. Elle est très belle, mais je n'ai pas le temps de me perdre dans mes réflections qu'elle me propose une nouvelle mission. Je suis sensé voler un tableau dans un grand musée. Mais je ne savais pas où ce dernier se situait. Elle m'expliqua donc la route à suivre avec précision. Une fois le musée atteint j'inspectais les environs du regard. Plusieurs gardes étaient présents, il me faudrait donc passer par le toit. Je prend mon grappin, mais remarque qu'il y a des alarmes sur les murs, il ne me servira donc a rien. J'appelle donc ma partenaire pour la prévenir. Elle me conseille de passer par les aires, ce que j'approuve, mais d'abord, je dois me changer.

Un jour en pleine nuit un homme est apparu. Je me fige et sors mon pistolet, à la vue de l'arme il sursaute. Mon doigt se pose sur la détente mais je ne tire pas, mon regard se voile de dégoût face a cet homme que je hais tant et il détourne le regard. Je m'approche de lui, mon bras toujours tendu vers lui, prêt à tirer à n'importe quel moment. J'appuie enfin sur la détente avant qu'il est pût faire un geste. Je vois le corps tomber comme au ralenti, jusqu'à ce qu'il s'écrase sur le sol en un bruit sourd. Je le regarde encore quelques instants avant de partir. J'ai fait ce qu'il fallait faire pour le monde entier. Je sors stoïquement de la ruelle pour rentrer chez moi sans aucun état d'âme. Arrivé à destination, le cours normal de ma vie reprend. Je me dirige vers la cuisine et commence à préparer à manger. Je prend une poêle et fait sauter des crêpes, puis m'installe à la table pour les déguster , j'allume la télé et je vois que les informations parlent déjà de la personne que j'ai tuée . J'ai fini mes crêpes et je continue de regarder la télé ... même s'il n'y a que des émissions nulles. Je finis par aller me coucher dans une couette bien chaude, et m'endors en peu de temps , sans me soucier du mort qui doit être en train de pourrir à la morgue . Je me réveillais le matin et j'allais aux toilettes, puis pris mon petit déjeuner, en silence.
Je sortis dehors pour promener mon chien. Il senti une présence lorsque j'étais rentré dans le centre-ville. J'étais essoufflé car j'avais couru pour échapper à cette présence. Je mis mes mains dans les poches et sentis cette arme avec laquelle j'avais tué la veille. Je vis un chat, et pour tester ma précision, je lui tirai dessus à balle réelle. Elle l'atteignit en plein cœur , le chat s'effondra dans une marre de sang. Je range mon arme, et rentre chez moi avec mon chien. Il a le regard larmoyant, je lui donne donc des croquettes. Il se jette dessus. Mon téléphone se met alors à sonner. Je décroche, c'est ma partenaire. Elle est très belle, mais je n'ai pas le temps de me perdre dans mes réflections qu'elle me propose une nouvelle mission. Je suis sensé voler un tableau dans un grand musée. Mais je ne savais pas où ce dernier se situait. Elle m'expliqua donc la route à suivre avec précision. Une fois le musée atteint j'inspectais les environs du regard. Plusieurs gardes étaient présents, il me faudrait donc passer par le toit. Je prend mon grappin, mais remarque qu'il y a des alarmes sur les murs, il ne me servira donc a rien. J'appelle donc ma partenaire pour la prévenir. Elle me conseille de passer par les aires, ce que j'approuve, mais d'abord, je dois me changer. J'arriva vers les vestiaires

Un jour en pleine nuit un homme est apparu. Je me fige et sors mon pistolet, à la vue de l'arme il sursaute. Mon doigt se pose sur la détente mais je ne tire pas, mon regard se voile de dégoût face a cet homme que je hais tant et il détourne le regard. Je m'approche de lui, mon bras toujours tendu vers lui, prêt à tirer à n'importe quel moment. J'appuie enfin sur la détente avant qu'il est pût faire un geste. Je vois le corps tomber comme au ralenti, jusqu'à ce qu'il s'écrase sur le sol en un bruit sourd. Je le regarde encore quelques instants avant de partir. J'ai fait ce qu'il fallait faire pour le monde entier. Je sors stoïquement de la ruelle pour rentrer chez moi sans aucun état d'âme. Arrivé à destination, le cours normal de ma vie reprend. Je me dirige vers la cuisine et commence à préparer à manger. Je prend une poêle et fait sauter des crêpes, puis m'installe à la table pour les déguster , j'allume la télé et je vois que les informations parlent déjà de la personne que j'ai tuée . J'ai fini mes crêpes et je continue de regarder la télé ... même s'il n'y a que des émissions nulles. Je finis par aller me coucher dans une couette bien chaude, et m'endors en peu de temps , sans me soucier du mort qui doit être en train de pourrir à la morgue . Je me réveillais le matin et j'allais aux toilettes, puis pris mon petit déjeuner, en silence.
Je sortis dehors pour promener mon chien. Il senti une présence lorsque j'étais rentré dans le centre-ville. J'étais essoufflé car j'avais couru pour échapper à cette présence. Je mis mes mains dans les poches et sentis cette arme avec laquelle j'avais tué la veille. Je vis un chat, et pour tester ma précision, je lui tirai dessus à balle réelle. Elle l'atteignit en plein cœur , le chat s'effondra dans une marre de sang. Je range mon arme, et rentre chez moi avec mon chien. Il a le regard larmoyant, je lui donne donc des croquettes. Il se jette dessus. Mon téléphone se met alors à sonner. Je décroche, c'est ma partenaire. Elle est très belle, mais je n'ai pas le temps de me perdre dans mes réflections qu'elle me propose une nouvelle mission. Je suis sensé voler un tableau dans un grand musée. Mais je ne savais pas où ce dernier se situait. Elle m'expliqua donc la route à suivre avec précision. Une fois le musée atteint j'inspectais les environs du regard. Plusieurs gardes étaient présents, il me faudrait donc passer par le toit. Je prend mon grappin, mais remarque qu'il y a des alarmes sur les murs, il ne me servira donc a rien. J'appelle donc ma partenaire pour la prévenir. Elle me conseille de passer par les aires, ce que j'approuve, mais d'abord, je dois me changer. J'arriva vers les vestiaires et me changea.

Un jour en pleine nuit un homme est apparu. Je me fige et sors mon pistolet, à la vue de l'arme il sursaute. Mon doigt se pose sur la détente mais je ne tire pas, mon regard se voile de dégoût face a cet homme que je hais tant et il détourne le regard. Je m'approche de lui, mon bras toujours tendu vers lui, prêt à tirer à n'importe quel moment. J'appuie enfin sur la détente avant qu'il est pût faire un geste. Je vois le corps tomber comme au ralenti, jusqu'à ce qu'il s'écrase sur le sol en un bruit sourd. Je le regarde encore quelques instants avant de partir. J'ai fait ce qu'il fallait faire pour le monde entier. Je sors stoïquement de la ruelle pour rentrer chez moi sans aucun état d'âme. Arrivé à destination, le cours normal de ma vie reprend. Je me dirige vers la cuisine et commence à préparer à manger. Je prend une poêle et fait sauter des crêpes, puis m'installe à la table pour les déguster , j'allume la télé et je vois que les informations parlent déjà de la personne que j'ai tuée . J'ai fini mes crêpes et je continue de regarder la télé ... même s'il n'y a que des émissions nulles. Je finis par aller me coucher dans une couette bien chaude, et m'endors en peu de temps , sans me soucier du mort qui doit être en train de pourrir à la morgue . Je me réveillais le matin et j'allais aux toilettes, puis pris mon petit déjeuner, en silence.
Je sortis dehors pour promener mon chien. Il senti une présence lorsque j'étais rentré dans le centre-ville. J'étais essoufflé car j'avais couru pour échapper à cette présence. Je mis mes mains dans les poches et sentis cette arme avec laquelle j'avais tué la veille. Je vis un chat, et pour tester ma précision, je lui tirai dessus à balle réelle. Elle l'atteignit en plein cœur , le chat s'effondra dans une marre de sang. Je range mon arme, et rentre chez moi avec mon chien. Il a le regard larmoyant, je lui donne donc des croquettes. Il se jette dessus. Mon téléphone se met alors à sonner. Je décroche, c'est ma partenaire. Elle est très belle, mais je n'ai pas le temps de me perdre dans mes réflections qu'elle me propose une nouvelle mission. Je suis sensé voler un tableau dans un grand musée. Mais je ne savais pas où ce dernier se situait. Elle m'expliqua donc la route à suivre avec précision. Une fois le musée atteint j'inspectais les environs du regard. Plusieurs gardes étaient présents, il me faudrait donc passer par le toit. Je prend mon grappin, mais remarque qu'il y a des alarmes sur les murs, il ne me servira donc a rien. J'appelle donc ma partenaire pour la prévenir. Elle me conseille de passer par les aires, ce que j'approuve, mais d'abord, je dois me changer. J'arriva vers les vestiaires et me changea , je pris mes vêtement dans mon casier ..

(pas grave)

(ok ...)

Un jour en pleine nuit un homme est apparu. Je me fige et sors mon pistolet, à la vue de l'arme il sursaute. Mon doigt se pose sur la détente mais je ne tire pas, mon regard se voile de dégoût face a cet homme que je hais tant et il détourne le regard. Je m'approche de lui, mon bras toujours tendu vers lui, prêt à tirer à n'importe quel moment. J'appuie enfin sur la détente avant qu'il est pût faire un geste. Je vois le corps tomber comme au ralenti, jusqu'à ce qu'il s'écrase sur le sol en un bruit sourd. Je le regarde encore quelques instants avant de partir. J'ai fait ce qu'il fallait faire pour le monde entier. Je sors stoïquement de la ruelle pour rentrer chez moi sans aucun état d'âme. Arrivé à destination, le cours normal de ma vie reprend. Je me dirige vers la cuisine et commence à préparer à manger. Je prend une poêle et fait sauter des crêpes, puis m'installe à la table pour les déguster , j'allume la télé et je vois que les informations parlent déjà de la personne que j'ai tuée . J'ai fini mes crêpes et je continue de regarder la télé ... même s'il n'y a que des émissions nulles. Je finis par aller me coucher dans une couette bien chaude, et m'endors en peu de temps , sans me soucier du mort qui doit être en train de pourrir à la morgue . Je me réveillais le matin et j'allais aux toilettes, puis pris mon petit déjeuner, en silence.
Je sortis dehors pour promener mon chien. Il senti une présence lorsque j'étais rentré dans le centre-ville. J'étais essoufflé car j'avais couru pour échapper à cette présence. Je mis mes mains dans les poches et sentis cette arme avec laquelle j'avais tué la veille. Je vis un chat, et pour tester ma précision, je lui tirai dessus à balle réelle. Elle l'atteignit en plein cœur , le chat s'effondra dans une marre de sang. Je range mon arme, et rentre chez moi avec mon chien. Il a le regard larmoyant, je lui donne donc des croquettes. Il se jette dessus. Mon téléphone se met alors à sonner. Je décroche, c'est ma partenaire. Elle est très belle, mais je n'ai pas le temps de me perdre dans mes réflections qu'elle me propose une nouvelle mission. Je suis sensé voler un tableau dans un grand musée. Mais je ne savais pas où ce dernier se situait. Elle m'expliqua donc la route à suivre avec précision. Une fois le musée atteint j'inspectais les environs du regard. Plusieurs gardes étaient présents, il me faudrait donc passer par le toit. Je prend mon grappin, mais remarque qu'il y a des alarmes sur les murs, il ne me servira donc a rien. J'appelle donc ma partenaire pour la prévenir. Elle me conseille de passer par les aires, ce que j'approuve, mais d'abord, je dois me changer. J'arriva vers les vestiaires et me changea , je pris mes vêtement dans mon casier et sortis pour aller dans l'hélicoptère qui m'attendait...

(ba voila merci aiko ^^)

Un jour en pleine nuit un homme est apparu. Je me fige et sors mon pistolet, à la vue de l'arme il sursaute. Mon doigt se pose sur la détente mais je ne tire pas, mon regard se voile de dégoût face a cet homme que je hais tant et il détourne le regard. Je m'approche de lui, mon bras toujours tendu vers lui, prêt à tirer à n'importe quel moment. J'appuie enfin sur la détente avant qu'il est pût faire un geste. Je vois le corps tomber comme au ralenti, jusqu'à ce qu'il s'écrase sur le sol en un bruit sourd. Je le regarde encore quelques instants avant de partir. J'ai fait ce qu'il fallait faire pour le monde entier. Je sors stoïquement de la ruelle pour rentrer chez moi sans aucun état d'âme. Arrivé à destination, le cours normal de ma vie reprend. Je me dirige vers la cuisine et commence à préparer à manger. Je prend une poêle et fait sauter des crêpes, puis m'installe à la table pour les déguster , j'allume la télé et je vois que les informations parlent déjà de la personne que j'ai tuée . J'ai fini mes crêpes et je continue de regarder la télé ... même s'il n'y a que des émissions nulles. Je finis par aller me coucher dans une couette bien chaude, et m'endors en peu de temps , sans me soucier du mort qui doit être en train de pourrir à la morgue . Je me réveillais le matin et j'allais aux toilettes, puis pris mon petit déjeuner, en silence.
Je sortis dehors pour promener mon chien. Il senti une présence lorsque j'étais rentré dans le centre-ville. J'étais essoufflé car j'avais couru pour échapper à cette présence. Je mis mes mains dans les poches et sentis cette arme avec laquelle j'avais tué la veille. Je vis un chat, et pour tester ma précision, je lui tirai dessus à balle réelle. Elle l'atteignit en plein cœur , le chat s'effondra dans une marre de sang. Je range mon arme, et rentre chez moi avec mon chien. Il a le regard larmoyant, je lui donne donc des croquettes. Il se jette dessus. Mon téléphone se met alors à sonner. Je décroche, c'est ma partenaire. Elle est très belle, mais je n'ai pas le temps de me perdre dans mes réflections qu'elle me propose une nouvelle mission. Je suis sensé voler un tableau dans un grand musée. Mais je ne savais pas où ce dernier se situait. Elle m'expliqua donc la route à suivre avec précision. Une fois le musée atteint j'inspectais les environs du regard. Plusieurs gardes étaient présents, il me faudrait donc passer par le toit. Je prend mon grappin, mais remarque qu'il y a des alarmes sur les murs, il ne me servira donc a rien. J'appelle donc ma partenaire pour la prévenir. Elle me conseille de passer par les aires, ce que j'approuve, mais d'abord, je dois me changer. J'arriva vers les vestiaires et me changea , je pris mes vêtement dans mon casier et sortis pour aller dans l'hélicoptère qui m'attendait. Il m'ammena jusqu'au toit du musée, où j'entrerai par une fenêtre.

Un jour en pleine nuit un homme est apparu. Je me fige et sors mon pistolet, à la vue de l'arme il sursaute. Mon doigt se pose sur la détente mais je ne tire pas, mon regard se voile de dégoût face a cet homme que je hais tant et il détourne le regard. Je m'approche de lui, mon bras toujours tendu vers lui, prêt à tirer à n'importe quel moment. J'appuie enfin sur la détente avant qu'il est pût faire un geste. Je vois le corps tomber comme au ralenti, jusqu'à ce qu'il s'écrase sur le sol en un bruit sourd. Je le regarde encore quelques instants avant de partir. J'ai fait ce qu'il fallait faire pour le monde entier. Je sors stoïquement de la ruelle pour rentrer chez moi sans aucun état d'âme. Arrivé à destination, le cours normal de ma vie reprend. Je me dirige vers la cuisine et commence à préparer à manger. Je prend une poêle et fait sauter des crêpes, puis m'installe à la table pour les déguster , j'allume la télé et je vois que les informations parlent déjà de la personne que j'ai tuée . J'ai fini mes crêpes et je continue de regarder la télé ... même s'il n'y a que des émissions nulles. Je finis par aller me coucher dans une couette bien chaude, et m'endors en peu de temps , sans me soucier du mort qui doit être en train de pourrir à la morgue . Je me réveillais le matin et j'allais aux toilettes, puis pris mon petit déjeuner, en silence.
Je sortis dehors pour promener mon chien. Il senti une présence lorsque j'étais rentré dans le centre-ville. J'étais essoufflé car j'avais couru pour échapper à cette présence. Je mis mes mains dans les poches et sentis cette arme avec laquelle j'avais tué la veille. Je vis un chat, et pour tester ma précision, je lui tirai dessus à balle réelle. Elle l'atteignit en plein cœur , le chat s'effondra dans une marre de sang. Je range mon arme, et rentre chez moi avec mon chien. Il a le regard larmoyant, je lui donne donc des croquettes. Il se jette dessus. Mon téléphone se met alors à sonner. Je décroche, c'est ma partenaire. Elle est très belle, mais je n'ai pas le temps de me perdre dans mes réflections qu'elle me propose une nouvelle mission. Je suis sensé voler un tableau dans un grand musée. Mais je ne savais pas où ce dernier se situait. Elle m'expliqua donc la route à suivre avec précision. Une fois le musée atteint j'inspectais les environs du regard. Plusieurs gardes étaient présents, il me faudrait donc passer par le toit. Je prend mon grappin, mais remarque qu'il y a des alarmes sur les murs, il ne me servira donc a rien. J'appelle donc ma partenaire pour la prévenir. Elle me conseille de passer par les aires, ce que j'approuve, mais d'abord, je dois me changer. J'arriva vers les vestiaires et me changea , je pris mes vêtement dans mon casier et sortis pour aller dans l'hélicoptère qui m'attendait. Il m'ammena jusqu'au toit du musée, où j'entrerai par une fenêtre. Je décendis avec corde autour de la corde alors des détecteurs présents sur le sol

Un jour en pleine nuit un homme est apparu. Je me fige et sors mon pistolet, à la vue de l'arme il sursaute. Mon doigt se pose sur la détente mais je ne tire pas, mon regard se voile de dégoût face a cet homme que je hais tant et il détourne le regard. Je m'approche de lui, mon bras toujours tendu vers lui, prêt à tirer à n'importe quel moment. J'appuie enfin sur la détente avant qu'il est pût faire un geste. Je vois le corps tomber comme au ralenti, jusqu'à ce qu'il s'écrase sur le sol en un bruit sourd. Je le regarde encore quelques instants avant de partir. J'ai fait ce qu'il fallait faire pour le monde entier. Je sors stoïquement de la ruelle pour rentrer chez moi sans aucun état d'âme. Arrivé à destination, le cours normal de ma vie reprend. Je me dirige vers la cuisine et commence à préparer à manger. Je prend une poêle et fait sauter des crêpes, puis m'installe à la table pour les déguster , j'allume la télé et je vois que les informations parlent déjà de la personne que j'ai tuée . J'ai fini mes crêpes et je continue de regarder la télé ... même s'il n'y a que des émissions nulles. Je finis par aller me coucher dans une couette bien chaude, et m'endors en peu de temps , sans me soucier du mort qui doit être en train de pourrir à la morgue . Je me réveillais le matin et j'allais aux toilettes, puis pris mon petit déjeuner, en silence.
Je sortis dehors pour promener mon chien. Il senti une présence lorsque j'étais rentré dans le centre-ville. J'étais essoufflé car j'avais couru pour échapper à cette présence. Je mis mes mains dans les poches et sentis cette arme avec laquelle j'avais tué la veille. Je vis un chat, et pour tester ma précision, je lui tirai dessus à balle réelle. Elle l'atteignit en plein cœur , le chat s'effondra dans une marre de sang. Je range mon arme, et rentre chez moi avec mon chien. Il a le regard larmoyant, je lui donne donc des croquettes. Il se jette dessus. Mon téléphone se met alors à sonner. Je décroche, c'est ma partenaire. Elle est très belle, mais je n'ai pas le temps de me perdre dans mes réflections qu'elle me propose une nouvelle mission. Je suis sensé voler un tableau dans un grand musée. Mais je ne savais pas où ce dernier se situait. Elle m'expliqua donc la route à suivre avec précision. Une fois le musée atteint j'inspectais les environs du regard. Plusieurs gardes étaient présents, il me faudrait donc passer par le toit. Je prend mon grappin, mais remarque qu'il y a des alarmes sur les murs, il ne me servira donc a rien. J'appelle donc ma partenaire pour la prévenir. Elle me conseille de passer par les aires, ce que j'approuve, mais d'abord, je dois me changer. J'arriva vers les vestiaires et me changea , je pris mes vêtement dans mon casier et sortis pour aller dans l'hélicoptère qui m'attendait. Il m'ammena jusqu'au toit du musée, où j'entrerai par une fenêtre. Je décendis avec corde autour de la taille à cause* des détecteurs présents sur le sol

( désolée >.< )

(pg ca arrive a tt le monde ^^)

Un jour en pleine nuit un homme est apparu. Je me fige et sors mon pistolet, à la vue de l'arme il sursaute. Mon doigt se pose sur la détente mais je ne tire pas, mon regard se voile de dégoût face a cet homme que je hais tant et il détourne le regard. Je m'approche de lui, mon bras toujours tendu vers lui, prêt à tirer à n'importe quel moment. J'appuie enfin sur la détente avant qu'il est pût faire un geste. Je vois le corps tomber comme au ralenti, jusqu'à ce qu'il s'écrase sur le sol en un bruit sourd. Je le regarde encore quelques instants avant de partir. J'ai fait ce qu'il fallait faire pour le monde entier. Je sors stoïquement de la ruelle pour rentrer chez moi sans aucun état d'âme. Arrivé à destination, le cours normal de ma vie reprend. Je me dirige vers la cuisine et commence à préparer à manger. Je prend une poêle et fait sauter des crêpes, puis m'installe à la table pour les déguster , j'allume la télé et je vois que les informations parlent déjà de la personne que j'ai tuée . J'ai fini mes crêpes et je continue de regarder la télé ... même s'il n'y a que des émissions nulles. Je finis par aller me coucher dans une couette bien chaude, et m'endors en peu de temps , sans me soucier du mort qui doit être en train de pourrir à la morgue . Je me réveillais le matin et j'allais aux toilettes, puis pris mon petit déjeuner, en silence. Je sortis dehors pour promener mon chien. Il senti une présence lorsque j'étais rentré dans le centre-ville. J'étais essoufflé car j'avais couru pour échapper à cette présence. Je mis mes mains dans les poches et sentis cette arme avec laquelle j'avais tué la veille. Je vis un chat, et pour tester ma précision, je lui tirai dessus à balle réelle. Elle l'atteignit en plein cœur , le chat s'effondra dans une marre de sang. Je range mon arme, et rentre chez moi avec mon chien. Il a le regard larmoyant, je lui donne donc des croquettes. Il se jette dessus. Mon téléphone se met alors à sonner. Je décroche, c'est ma partenaire. Elle est très belle, mais je n'ai pas le temps de me perdre dans mes réflections qu'elle me propose une nouvelle mission. Je suis sensé voler un tableau dans un grand musée. Mais je ne savais pas où ce dernier se situait. Elle m'expliqua donc la route à suivre avec précision. Une fois le musée atteint j'inspectais les environs du regard. Plusieurs gardes étaient présents, il me faudrait donc passer par le toit. Je prend mon grappin, mais remarque qu'il y a des alarmes sur les murs, il ne me servira donc a rien. J'appelle donc ma partenaire pour la prévenir. Elle me conseille de passer par les aires, ce que j'approuve, mais d'abord, je dois me changer. J'arriva vers les vestiaires et me changea , je pris mes vêtement dans mon casier et sortis pour aller dans l'hélicoptère qui m'attendait. Il m'ammena jusqu'au toit du musée, où j'entrerai par une fenêtre. Je décendis avec une corde autour de la taille à cause des détecteurs présents sur le sol. Je posais avec apréhension mon premier pied sur le toit,

Un jour en pleine nuit un homme est apparu. Je me fige et sors mon pistolet, à la vue de l'arme il sursaute. Mon doigt se pose sur la détente mais je ne tire pas, mon regard se voile de dégoût face a cet homme que je hais tant et il détourne le regard. Je m'approche de lui, mon bras toujours tendu vers lui, prêt à tirer à n'importe quel moment. J'appuie enfin sur la détente avant qu'il est pût faire un geste. Je vois le corps tomber comme au ralenti, jusqu'à ce qu'il s'écrase sur le sol en un bruit sourd. Je le regarde encore quelques instants avant de partir. J'ai fait ce qu'il fallait faire pour le monde entier. Je sors stoïquement de la ruelle pour rentrer chez moi sans aucun état d'âme. Arrivé à destination, le cours normal de ma vie reprend. Je me dirige vers la cuisine et commence à préparer à manger. Je prend une poêle et fait sauter des crêpes, puis m'installe à la table pour les déguster , j'allume la télé et je vois que les informations parlent déjà de la personne que j'ai tuée . J'ai fini mes crêpes et je continue de regarder la télé ... même s'il n'y a que des émissions nulles. Je finis par aller me coucher dans une couette bien chaude, et m'endors en peu de temps , sans me soucier du mort qui doit être en train de pourrir à la morgue . Je me réveillais le matin et j'allais aux toilettes, puis pris mon petit déjeuner, en silence.
Je sortis dehors pour promener mon chien. Il senti une présence lorsque j'étais rentré dans le centre-ville. J'étais essoufflé car j'avais couru pour échapper à cette présence. Je mis mes mains dans les poches et sentis cette arme avec laquelle j'avais tué la veille. Je vis un chat, et pour tester ma précision, je lui tirai dessus à balle réelle. Elle l'atteignit en plein cœur , le chat s'effondra dans une marre de sang. Je range mon arme, et rentre chez moi avec mon chien. Il a le regard larmoyant, je lui donne donc des croquettes. Il se jette dessus. Mon téléphone se met alors à sonner. Je décroche, c'est ma partenaire. Elle est très belle, mais je n'ai pas le temps de me perdre dans mes réflections qu'elle me propose une nouvelle mission. Je suis sensé voler un tableau dans un grand musée. Mais je ne savais pas où ce dernier se situait. Elle m'expliqua donc la route à suivre avec précision. Une fois le musée atteint j'inspectais les environs du regard. Plusieurs gardes étaient présents, il me faudrait donc passer par le toit. Je prend mon grappin, mais remarque qu'il y a des alarmes sur les murs, il ne me servira donc a rien. J'appelle donc ma partenaire pour la prévenir. Elle me conseille de passer par les aires, ce que j'approuve, mais d'abord, je dois me changer. J'arriva vers les vestiaires et me changea , je pris mes vêtement dans mon casier et sortis pour aller dans l'hélicoptère qui m'attendait. Il m'ammena jusqu'au toit du musée, où j'entrerai par une fenêtre. Je décendis avec une corde autour de la taille à cause des détecteurs présents sur le sol. Je posais avec appréhension mon premier pied sur le toit, et utilise avec précaution une bombe faisant apparaître les infra-rouges