La Cours Du Lycée

Rappel du premier message :

La cours est assez vaste, elle donne sur le gymnase et les terrains mai aussi ur la grande porte qui mène à la ville.

Au milieu de la cours il y a un carré de pelouse "Interdit" mais tous les élèves y vont pour prendre le soleil l'été. Y a aussi un grand chène centenaire où on peut s'amuser à grimper. Et à côté du batiment administratif, en haut des escalier en marbre, il y a une statue de Ren Sasori. Celui qui ose la toucher sera définitivement exclus et personne ne s'est jamais osé ...

J'eu juste le temps de sourire, que mes lèvre n'étaient plus à moi. Le soleil nous fessais un grand bien, à nos deux coeur qui s'étaient basculés du coté noir de l'amour: la jalousie. Je me décrocha de lui et sortis mon portable, c'était le moment de lui parler.

-Izumi faut qu'on parle ...

- Hm ! Oui je t'écoute

Je m'asseyais à côté d'elle et attendais

-Tu sais, je t'ai jamais raconter mon passer, mais je crois que c'est le moment.

Je sortis mon portable et lui montrera la message :" Ahah, je t'ai retrouver, petite salope!"

-Quand j'était plus jeune, j'était délinquante, je fumais buvais a mon soul tout les soir et travaillais pour le plaisir dans un bar très chic. La drogue était devenu ma seule famille. Je devais pas êtres plus jeune que 13 ans. Et pourtant tu l'aura remarquer, mes formes son "surdévelopper". Bah a cette âge là on me donnais déjà 17 ans. Un soir, un client m'avais approcher, et moi étant tout a fait délurer, je me suis mis a le draguer. Rassure toi j'en suis pas fière. Et tout les soir on se fréquentais au Bar, puis un soir il ma embrasser, il devait avoir 20 ans tout au plus. Mais sa n'allais jamais plus loin. ET un soir, il ma inviter chez lui boire un vers. Dans un ruelle sombre il m'avais conduit et le noir s'était installer [ poétique non? U__U By Moi!) et il avait voulus me violer. Je me suis échapper de peux, grâce a mon entrainement de Skate j'était souple. Après cet horrible soir j'ai pris conscience de tous les événement que savais engranger, donc je suis partis loin, ma famille m'avais déjà oublier. Depuis ce jours, il n'avais jamais voulus me retrouver , mais je ne sais par quel moyen, il ma trouver, mais je sais qu'il va me faire payer tout se que je lui est fait. Izumi ... J'ai peur ...

Je m'effondra en sanglot, mon passer mis a nu.

- Je .... je sais pas quoi dire. Déjà merci de m'avoir enfin tout dit. Je me faisais du soucis pour toi. Je comprends beaucoup mieux maintenant.

Je la pris dans mes bras et la berçais tendrement

- Tu sais, ça m'étonnerais qu'il vienne au lycée. Et puis, je suis là. Et y'a aussi tous les gens. Rassures toi ^^ Et puis, moi je t'aime. Il viendra pas.

( Du je sors tout cet hsitoire moi O___O????)

Je me laissais aller devant, dernier etc ... Laissant libre court a mes larme, qui prenais avidement tout l'espace de mes joues, rouge de honte, mêlées a la tristesse.

-J'ai peur ... Même si je sais que j'ai beaucoup de gens sur qui compter. Je m'étais promis de ne plus jamais pleurer pour cette histoire, pourtant ...

Je m'écroulais dans ces bras, les sanglots beaucoup trop violents pour mon corps.

-Mais sache, que c'est toi que j'aime ...

( j'avoues XD )

- je le sais :)

Je la gardais dans mes bras, attendant qu'elle se calme =/ Je comprenais ce qu'elle avait depuis si longtemps

(Ta vue ça O___O J'ai trop d'imagination, je me détins moi même sur moi O___O C'est possible ça? U__U )

-Je vais bien ... Enfin je crois. Allons en cours de math, sa nous changera les idées, d'accord?

Je lui souris tristement, cachant au maximum ma gêne d'avoir mis mon passer à nu. Enfin je l'aimais et je lui fais confiance, alors je ne devrais pas êtres gênée ^^
Je me leva et lui tendis la main, histoire de l'aider à se lever. Dans le fond, je me sentais bien plus légère.

(

à croire que oui mdr )

- Oui allons y, même si je n'ai pas très envie :)
Je me levais, prenais la main de ma Shinji et l'emmener vers les salles de cours

Je me réfugia à la cour après cette escapade dans le hall plus ou moins mouvementée.
Je m'assis au pied d'un arbre, et m'amuse à casser un bout de bois sur le sol. Décidément, ce mec m'a tellement fait chier que je pourrais détruire un arbre à coup de pied !!!!
Je cassa du plus en plus violemment le bout de bois, pour finalement me calmer petit à petit.

J'arriva dans la cours après mon passage sur le toit . Je surveilla Yoyo tout en marchant pour qu'il ne s'échappe pas comme la dernière fois . C'est alors que j'apercus une fille en train de casser un bout de bois ; elle avait vraiment l'air très énervé . Je m'approcha doucement d'elle pour essayer de lui parler .
- Heu ... Salut , tu vas bien ... ?
Yoyo se posa sur mon épaule au même moment .

Une petite voix dans mon dos me fis sursauter. Une voix de fille. Je me retourna. Le visage de cette fille me disais quelque chose : je l'avais déjà vue quelque part, mais où ?
- Salut ^^' T'inquiètes pas pour ça, j'étais légèrement énervée, ça va mieux maintenant ! Aiko Ogawa, et toi ?

Elle se retourna et me regarda bizarrement .
- Heu , moi c'est Cellio , Cellio Yamashita !
Puis je lui montra Yoyo du doigt .
- Lui c'est Yoyo , mon oiseau et aussi mon meilleur ami .
Il alla alors lui voler autour puis se posa sur son épaule .
- Je vois qu'il t'aime bien ^^

- Enchantée Cellio, et enchantée Yoyo aussi ! ^^ T'es nouvelle ici ?

- Oh oui je suis arrivée il y a quelques jours . Et toi ca fait depuis longtemps que tu es ici ?

- Oui, ça fait un petit moment ^^ Et je me suis déjà fait remarquer plusieurs fois par la directrice !

Soit dit en passant, je viens d'échapper à plusieurs heures de colle ! lui chuchotais-je à l'oreille. Mais bon, te fais pas remarquer, après T'as plein de problèmes

- Oula

Ne t'en fait pas ; j'ai pas l'intention d'en avoir ... enfin La Cours Du Lycée - Page 14 985202

-

Je te le conseille ! Bref, ça te dirait d'aller manger quelque chose ? Je t'invite !

- Oh et bien , pourquoi pas ^^

- Bon, allons au resto ! On en profitera pour te faire un peu visiter la ville ! À moins que tu l'est déjà visitée ???

- Ah non , je suis restée ici ^^ je ne savais pas si je pouvais sortir du Lycée La Cours Du Lycée - Page 14 72566

- Bah oui, on peut aller à la ville

Du moins moi on m'a jamais rien dit = =

-

Bah si tu as pu sortir avant c'est qu'on a le droit alors ! La Cours Du Lycée - Page 14 218735

- Bah alors, on y va !
Nous nous dirigeâmes vers la sortie du lycée.

Lumaty sorti de l'immense édifice que représentait l'école, s'échappant le plus loin et le plus vite possible. Les yeux fermés seul ses pas savaient où il allait. Il courut à travers la sylve épaisse qui cerclait l'enceinte, en ces lieux seuls quelques rayons de soleil réussissaient à percer le feuillage si dense. La route quant à elle était escarpé et cruelle en cette obscurité. Bien qu'il trébucha à de nombreuse reprise, ont eu l'impression que rien ne pourrait parvenir à l'arrêter, il continua à serpenter entre les arbres, s'éloignant toujours plus de sa prison.

A bout de souffle, il prit appuis à un arbre. La lettre collée sur son coeur, exprimait tout le bonheur qu'il y contenait, cette vie dont il était si souvent absent. Si quelqu'un l'observait en ce moment il verrait un tout autre individu en la personne de Lumaty. En cet instant on pouvait affirmer une vérité non soupçonné, ainsi Lumaty était capable d'aimer, malgré l'être vil qu'il se plaît tant à montrer aux autres.

Il resta un moment ainsi maintenu par l'arbre. Petit à petit son coeur retrouva une cadence normale. Son regard se riva vers le ciel, les arbres donnaient l'impression d'avoir rétracté leur feuillage afin de lui offrir cette vision, comme si les sentiments de Lumaty les avaient atteint. Quelques rayons de soleil virent lui caresser le visage. Il se laissa glisser au sol, puis décacheta le sceau, déplia soigneusement la lettre et entreprit sa lecture. Ses yeux brillaient sous les rayons, leur donnant une vie si rare. Son souffle caressa la lettre où se dessinait l'écriture rigide de son oncle.

Puis en une fraction de seconde la lettre s'envola, déchirée en millier de morceau, tout autant que l'était son coeur. Les ténèbres avaient de nouveau reprit le dessus. Le vent s'était levé emportant avec lui ce qui restait de la lettre. Ébouriffant au passage les cheveux de Lumaty, dévoilant ainsi un regard emplit d'une peine profonde et d'incompréhension. Il se tenait là debout au milieu de nulle part. Si le vent ne jouait pas avec lui, ont pourrait le prendre pour une statue, dont seul le regard brulait encore d'une vie dont personne n'en voudrait. Ses yeux semblaient continuer de voir les mots que son oncle lui avaient écrits, bien que la lettre soit à présent déjà éparpillée dans toute la forêt. Les mots avaient figé son regard, ils semblaient y être gravé, passant et repassant afin que son être les imprègnent, les comprennent, assimile leurs sens.

"J'ai le regret de vous informer que je serai à Paris pour affaires cet été."

Que de mots cruels. Une fois encore il était abandonné. Lui qui avait tant hâte de le revoir, lui qui l'aimait tant, qui se sentait si seul sans lui, si désemparé. Lui qui se faisait une telle joie à cette lettre... Tout était fini. Lui était là et son oncle à Paris le laissant une fois de plus.

"Je ne pourrais donc pas passer vous prendre au lycéeTougen'kyou.
Evans Rosenthal."

Il s'enfuit alors, là où les mots ne l'atteindront plus. Le chagrin qui le dévastait était semblable à un vent furieux. Il sillonna entre les arbres enquête d'une délivrance quelconque, les mains sur le visage comme pour oublier, pour effacer ce qu'il avait lue. Il poursuivit sa course sans s'arrêter ne cherchant pas à savoir où il allait. Il n'avait plus besoin de ses mains pour se cacher, ses yeux embuer de larme coulaient le long de ses joues, le laissant ainsi dans sa bulle. Il avait l'impression de marcher pieds nus dans un jardin de verre brisé dont les éclats déchiraient son coeur. Plus rien n'avait d'importance maintenant, seule la souffrance serait la délivrance. Combien de fois il trébucha, combien de branches d'arbres lui fouettèrent les bras, le visage à son passage, la nature elle-même semblait ressentir la peine de Lumaty, l'aidant ainsi à l'en soulager. Cependant, cela ne l'apaisa en rien, ne lui fit pas le moindre effet. Il faillait qu'il mal, bien plus mal encore pour soulager son coeur.

"P.S. : Je vous verrai cet hiver. Attendez avec impatience d'ici là."

Le paysage défila à une vitesse vertigineuse, qu'il en perdait tout repère. Tout semblait tourner autour de lui. Le ciel bleu avait emporté avec lui les derniers rayons de soleil, qui lui avait été accordé. Le temps lui aussi se mit de la partie, le vent de plus en plus violent faisait valser notre Lumaty, se moquent de lui, de ses émotions, de sa sensiblerie si humaine. Son visage empli de larme ne fit pas la différence entre l'eau survenu de ses yeux à ceux du ciel, à présent si noir. En peu de temps, le temps se souleva, reflétant les tourments de son être. Il vibra sous l'assaut des éclaires, se glaça sous l'effet des larmes d'eau, se courba sous l'implacable vent. Les éléments se mélangeaient à son être, lui répondaient. Tout se déchaîna, tournant et tournant à en avoir de vertige, tout devient flou, les éclaires lui blessaient les yeux. Il s'échappa, continuant inlassablement sa course, se perdant à chaque seconde un peu plus, perdant la raison à chaque instant, il courrait animé par sa seule folie. Dansant au rythme du vent, trébuchant d'ici, de là, se redressant tel un ballet fou. Dévalant les collines, se laissant emporter par cet élan, jusqu'à perdre l'équilibre. Son ombre s'étira encore et toujours plus loin, se jetant dans le précipice, disparaissant ainsi. Mettant un terme à cette course effréné sans logique. Il chuta de plus en plus bas et de plus en plus vite, ralentissant de temps à autres lorsque son corps vient frapper violemment la masse rocheuse. Aucun cri ne lui échappa. Nul ne savait quand sa chute prendrait fin, jusqu'à ce que le bruissement des feuilles mortes au sol se fit entendre sous l'atterrissage de Lumaty, leur offrant ainsi l'occasion d'un dernier envol.

Il resta ainsi allongé, avait-il perdu conscience ? Non, son regard était bien ouvert, bien que dépourvue de vie. Il était vide aussi vide que l'était son être. Il ne tenta pas de se lever, son visage au sol était recouvert de larmes de boue, remplaçant celles qui ne parvenaient plus à couler de ses yeux. Il regardait au loin, sans réellement voir, son regard remplit d'une folie démentielle. Puis il releva la tête et son regard soudain fiévreux s'attacha à celui de l'invisible, peu à peu il étira le bras semblant saisir une chose imperceptible à nos yeux, mais visiblement évident au sien, ses lèvres s'étirèrent en un sourire, puis prononça le nom de son oncle comme si ce dernier se tenait devant lui.

Soudain un éclaire lui brisa son rêve, le ramenant à une réalité dont-il ne voulait pas, qu'il souhaitait fuir. Tel un pantin il se redressa peu à peu sans qu'une impression de vie n'émane de ses gestes, il semblait soulevé par des fils invisibles qui le poussait à se lever. Cependant, il rechuta aussitôt, sa cheville bien qu'elle ne semblait pas être bisée, devait sans doute néanmoins, être foulée. Il resta donc là, puisqu'il n'en avait pas vraiment le choix. Il s'affaissa sur le sol meurtrier, recroquevillé sur lui-même à la manière d'un foetus, s'enroula de son bras, l'autre s'étant dessoudé. Malheureusement malgré cela, aucune douleur ne se faisait sentir, son corps courbaturer, son visage à l'origine si beau était ravagé par de multiples coupures et pourtant cela ne suffit pas à atténuer sa peine. La douleur lui rongeait les entrailles et ses larmes intérieures, plus corrosives que ne l'eussent été des pleurs véritables, ne lui procurèrent nul soulagement. Ses ongles entamèrent la chaire de son bras, jusqu'à faire apparaître de petites gouttes rouges qui finissent par rouler et abreuver la terre. Il continua son manège, sans ressentir nul soulagement. Il était envahi d'un froid glacial, mais ne saurait dire si c'était son corps qui exprimait cette plainte où son coeur. Mais qu'importe d'où elle venait, il s'y plongea afin d'oublier, afin de souffrir, afin de vivre.

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