Le Terrain De Basket

- Ouais U.U

- Bon ben on y va alors

Nous allâmes donc vers le cinéma

Après avoir enfiler un sur-vêtement noir pantacourt puma et un débardeur blanc Nike. Je descendis au terrain de basket a coté du Lycée/Collège.
Je vis avec horreur les petits 6ème des collège qui jouaient au basket. Dans le fond c'était mignon de les voir pleurer après avoir loupé leur panier.
Je posa mon sac Puma noir sur le banc vert du terrain et je sortis mon ballon noir et rouge. Je mis mes basket Nike noir et m'attachais les cheveux en couette.
Ceci fait je commençais tranquillement a dribblé sur le terrain face au 6ème. Je fis passer ma balle entre mes jambes et de droite a gauche au niveau de mes main. Je mis mon premier panier.
Je ramassais ma balle et continua mon échauffement tous en douceur. Définitivement je commençais a rouiller.
Dans le fond fuguer avais des avantages !!
Je me mis a marquer mes panier plus loin du pilier central. Ma balle roula jusqu'au 6ème et une petit fille au couette blonde vint me la donner.

-Tenez Madame c'est à vous !!

Elle me tendait la balle avec un magnifique sourire.

-Merci, ma grande !! Bon jeux !!

Je partis me poser sur le banc et bu. Après 3h00 de basket intensif je décidais de ma balader un peu.

Ah, ce lit confortable, qu'est-ce que j'aime ça... Ca fait tellement longtmps que je suis couchée que je ne sens presque plus mes plaies, ça fait du bien...
- Gyaaaaaah !!! dis-je, en criant.
Mon réveil s'était brusquement mis à sonner, m'annonçant qu'il était déjà 5h00.
- 5h00 ?! Je le crois pas !! Vite, faut que je me dépêche, je suis déjà en retard !! dis-je en me levant vite de mon lit.

M'habillant rapidement de vêtements de sport et me refaisant mes bandages, je mangea rapidement quelques gâteaux que j'avais gardés en réserve, pour un cas comme celui-là. Quittant ma chambre en courant, je ne tarda pas à arriver au terrains, avec quelques minutes de retard. La ponctualité n'avait jamais été mon fort, surtout aussi tôt le matin...
En entendant les dires de Luka, celà faisait un moment qu'il m'attendait. Je suis vraiment désolée, ce n'est pas comme ça que je vais le... Que ?! Je n'ai même pas vu ce coup venir. Je vole déjà à travers tous le terrain, je ne commence pas fort. M'apprêtant à me poser au sol, je ne le revis pas pour me frapper, et me renvoyer à l'endroit précédent. Mes plaies me font à nouveau mal, même si je guéris vite, elle ne cicatrisent quand même pas à cette vitesse. Me relevant comme je le pouvais, j'entendais mon adversaire et entraîneur me dire qu'il ne me ferait pas de cadeau... Et j'y compte bien ! pensais-je en souriant.
Alors que je venais tout juste de me relever, je me pris rapidement des coups à plusieurs endroits. Ne tardant pas à saigner du nez et du coin de la lèvre, Luka n'arrêtait pas pour autant ses coups. De toute façon, n'étais-je pas prête à endurer toute douleur ? Me sentant alors relevée par le col de ma veste, on entraîneur m'envoya brusquement un coup sur mes plaies, me faisant emmettre un grognement de douleur. Recroquevillée au sol sous la douleur, j'avais l'air d'une bête pathétique à deux doigts de mourir. J'ai mal, et alors ? me disais-je ? Est-ce que cela va t'empêcher de combattre ? Ca non, je ne suis pas d'accord !
- Moi, abandonner ? Tss, crèves ! lui dis-je, me relevant rapidement.
Me mettant à courir comme je le pouvais accompagnée de ma douleur, je me jetais sur lui, essayant de le frapper, mais ratant à chaque fois mes coups. Je frappais de tous cotés, me retournant à chaque fois vivement pour l'avoir surpris derrière moi, mais à chaque fois, il disparaissait avant que mon point de le heurte. Alors qu'il arrivait, de son côté, à me frapper à plusieurs endroits qui commençaient vraiment à me faire mal, je réussi, dans un ultime essai, à lui donner un coup de pied au niveau de la taille. Même si cet endroit ne faisait jamais souffrir, ça me prouvais au moins que je pouvais le toucher.

Rah, c'est pas vrai ! Il arrive à me métriser et à me soulever avec seulement un bras ! T'te façon, il a beau dire que je suis pathétique et autre, ça ne m'empêchera pas de continuer jusqu'au bout. M'écrasant au sol lorsqu'il me lâcha, je me leva directement après qu'il m'en ai donné l'ordre. Alors qu'il me frappais de nouveau, pendant que j'étais sur le sol, j'essayais vainement de me défendre, je serrais les dents. J'avais mal, oui, et alors ?! De toute façon, il est trop tard pour reculer, et je ne le veux pas. A quoi ça me mènerait de tous laisser tomber ? A rien, et moi, j'ai bien l'intention de faire ce que je veux dans ma vie, sinon j'aurais des regrets. Alors que je réessayais de le frapper comme tout à l'heure, je n'obtenus que le même résultat : j'échouais dans mes coups et lui me frappait. Me motivant de plus en plus, je fut tout à coup bien déçu, mais aussi au fond de moi légèrement soulagée... Comment est-ce qu'il pouvait mettre fin au combat ?! Ok, je perds un peu de sang... Même un peu beaucoup... Mais bon, c'est pas juste quand même !!
Alors que Luka me portait dans cette cabane que je n'avais jamais vue auparavant, je me sentis de nouveau posée sur un lit... J'en ai marre moi à force, je veux bouger moi ! En plus, je suis tombet sur un vrai pervers !! Me débattant, celui-ci arriva quand même à m'enlever mon t-shirt. Je savais que ce n'étais pas dans un simple but de cupidité, mais c'ets toujours un peu gênant quand même... Pendant qu'il me soignait, j'avais horriblement mal, et je ne pouvais pas retenir mes cris. Lorsqu'il avait fini et que j'étais habillé dans un kimono blanc et noir plutôt élégant, je reprenais tout le souffle que je n'avais eu le temps de rattraper pendant que je criais...
- Dis-moi, comment tu as fait pour arriver à ce niveau ? Moi, j'ai fait des années d'arts mlartiaux, j'en fais depuis toute petite... Alors comment ça se fait que tu me battes à ce point ?! lui demandais-je.

Il la regardait, un regard triste. Des yeux emplis de larme invisible.

-Quand tu vis dans la rue depuis ton plus jeune âge, que t'es parents te disent d'aller volé et que tu te fais battre jusqu'à la mort par un vendeur ... Tu apprends à te défendre tant bien que mal.
Tu as des cicatrices à vie, mentalement et physiquement mais tu apprends à vivre avec.

Il se levais et ôtait le haut de son hakama, laissant son magnifique torse musclé à Aiko. Elle remarqua bien vite, les cicatrices incalculable qu'il avait sur le torse et le dos. Le bas du dos était plus marqué de le haut.
Vers le bas ventre, ou Aiko évitait de regarder, il y avait d'énorme cicatrice, plus grosse que celle du dos.
Sur le ventre on pouvais y voire une marque de brulure. Quand nous voyions son visage ont de sit tous de suite :" Quel belle homme. Un enfant de riche je suppose ! Qu'il est beau!". Malheureusement que son visage était idem . Son corps était mutilé.

- J'ai vécu depuis l'âge de trois dans les balieu chaude de Tokyo, j'ai été violé tabassé, brûlé ... C'est pour ça que j'ai un caractère de sadique ... Ma vie ne pas rendu la vie facile.

Il regardait Aiko, puis il la pris dans ces bras, comme une princesse et la conduisis dehors sous la pluie battante.
Ils se mouillèrent tout les deux. Luka eu un geste doux pour une personne tel que lui, il posa Aiko doucement sur le sol et l'aida à ce remettre debout. Ceci fait il se mit en face d'elle.

-Je vais t'expliquer comme taper avec précision.

C'est sous une pluie battante que Luka appris à Aiko comment il tapait. Elle ne serait pas le faire tout de suite, mais avec le temps elle y arrivera.
Il ne voulait pas la combattre maintenant, ces plais étaient bien trop ouvertes.

C'est un peu dans ces moments-là que l'on apprends que l'on obtient rien sans rien... Chacun a des épreuves, plus ou moins difficiles, à supporter. Mais pourquoi ne vit-ion pas tous les même choses ? Est-ce que ça ne serait pas plus simple, parce que il y aurai toujours quelqu'un pour nous conseiller ? Malheureusement, la vie est ainsi, elle s'acharne sur certains et est parfaite pour d'autre... Que peut-on y faire ?
A la vue de toutes les cicatrices qui ornaient le torse de mon interlocuteur, je ne put m'empêcher un regard triste et plein de pitié. L'enfance de chacun peut paraître comme un enfer, on trouve toujours pire.. Mais pour lui, je n'avais pas d'exemples. Combien de souffrances a-t-il dû endurer, personne ne saurait le dire... C'est durant l'enfance que ce forge le caractère d'un individu,maintenant, je comprends pourquoi il est ainsi...
C'est sur cette esprit songeur et nostalgique que je me laissa porter sans protester. De retour sous la pluie, je savais que notre entraînement allait continuer. Prête à le voir m'attaquer comme avant, j'eu la surprise de le voir agir comme un sensei. Il allait m'apprendre, c'est tout. M'apprendre ce qu'il avait appris. Nos cheveux collés à notre corps par la pluie, il m'apprenais comment faire, et j'imitais ses mouvements comme je le pouvais. Lorsqu je me trompais, il s'amusait à me taper légèrement la tête, me faisant râler sous le prétexte qu'il me déconcentrais. Une bonne ambiance régnait sous ce temps de pluie, et nous nous entendions plutôt bien. Petit à petit, mes imitation devenaient un peu plus réussies, même si ce n'était quand même pas parfait... Parfois, je semblais prêt du but, et brusquement, je faisais une légère bétise qui changeait tout, me faisant reculer de nouveau. Après un temps indéfini à reccommencer encore et encore, je commençais à frapper plutôt précisément, mais j'étais loin de son niveau. Les seuls paroles qui passaient entre nous étaioent lorsqu'il me disaient exactement comment faire, comment incliner mon poignet, à quel point serrer mes points... Et moi, je me contentait seulement de dire oui, sans chercher à comprendre.

Plus les heures passaient plus la pluie devait violente. Malgré ça deux personnes, sous la pluie, était là. L'un près de l'autre, agitant les mains dans un même mouvement. Tapant, blessant, saignant.
Ils étaient là, ils s'entraidaient tous les deux. Ils allaient vers un but qui était précis. Il était derrière la jeune fille, son corps collé au siens, et pourtant rien de pervers. Il tenait les mains de la jeune fille et les guidaient dans un sens précis.

Leur cerveau tournaient au même rythme leur souffle en osmose. C'est dans un cris que la jeune fille touchais le visage de son interlocuteur. Que le sang giclait de ces lèvres. Elle l'avait touché. un coup de chance ? Certainement.

Luka se relevait, une sourire collé au lèvres. Il s'essuyait la lèvre avec son pouce et ébouriffais les cheveux d'Aiko; avant de lui lancé un petit " Bravo".

-Nous devrions rentré au Lycée, il commence à faire nuit.

Ils avaient passé toute la journée ensemble sous le pluie à apprendre et à touché l'autre. Il prit Aiko dans ces bras, comme une princesse [ xP] puis partis en direction du lycée.
Dès qu'ils franchir la porte, des murmures s'élevaient dans tout le hall. Aiko était bandé de la tête au pied, quand à Luka il avait la lèvre qui saignait.

Des filles étaient en admiration devant cette scène et d'autre avait peur. Les deux terreur du lycée venait de crée une alliance. Maintenant qu'ils étaient ensemble, le lycée allait périr ?

-Qui tu es toi ?!

Un garçons, blond au yeux noir, venait de s'adresser à Luka d'une manière agressive et violente, tout en le poussa, et touchant une plait à Aiko.
Luka le regarda avec colère mais le garçon ne broncha pas.

-C'est toi qui se dit super fort ? Je suis le gars le plus fort ! Toi tu arrives et tu crois pouvoir me battr-

Luka l'avait frappé. Il avait posé Aiko tellement vite que cette dernière était assise part terre. L'homme lui avait rejoins Aiko.
Les yeux de Luka avaient repris cette teinte maléfique. Il pris le garçon pas le col de sa veste et l'envoya valser à l'autre bout du Hall.
Aiko commençait à paniquer. Ce n'était pas elle, le garçon allait y resté si Luka continait ainsi!