Le Hall d'Entrée

Rappel du premier message :

Le hall est immense, car oui, nous sommes bien dans un lycée riche. Le sol est en marbre, les murs blancs. Quelques plantes vertes sur les côtés pour décorer le tout.
Une horloge, à gauche de la massive porte d'entrée, en fer.
En dessous de cette horloge le panneau où sont écrit les absences de professeurs (panneau chéri <3).
Des escaliers mènent à l'agora. Un couloir à droite au batiment administratif. Un autre couloir fini sur les permanences et 'linfirmerie.

mdr pov Shin, sa Ren est utilisée à tort et à travers !

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Il partit sans même un mot. Bah, de toute façon, peut importe, j'ai pas fais ça pour des remerciements !
Je m'apprêtais à partir, lorsqu'il revint se poster devant moi. Avant que je n'ai eu le temps de prononcer un seul mot, il m'embrassa.
Mes yeux s'écarquillèrent, et je rougis violemment. Je le repoussa immédiatement, désemparée.
- Non mais t'es pas fou ?! dis-je, les joues toujours écarlates.
Ce garçon était vraiment étrange, c'est comme si cela ne lui faisait ni chaud ni froid.
Je m'essuya un peu le bout des lèvres, sans le quitter du regard.

Vêtu de sa sombre cape, elle se faufila entre les élevés. Elle vit la directrice, et décida d'aller voire ses poche. Comme une ombre, elle fit avec une vitesse inhumaine les poches de la sévère directrice. Rien d'intéressent. Elle partis donc dans sa chambre. Dans qu'elle en ressortis, personne ne pouvais la reconnaitre. Ces long cheveux blanc étaient attaché sur le coté, elle avec un baggy en jean avec un chaine sur le coté, un veste en jean sans manches avec un tee-shirt blanc dessous. Ces converse était noir comme les collier en tête de qu'elle avait au tous du cous. Elle avait un casquette noir et blanche sur la tête, mis de coté. Des demi-gants était sur ces deux mains, de couleur noir. Sous ces yeux du crayon noir était mis. Cela fessais ressortir ces yeux bridé et son rouge puissant. Elle passa ça langue sur ces lèvre et sortis mains dans les poches d'une démarche nonchalante. C'était un homme. Il était beau. Il arriva dans le hall, avec beaucoup de classe. Il repassa ça langue sur ces lèvres. Il attendis la réaction de la directrice ... il veut la provoquer.

[HJ : Ne t'inquiète pas Shinji, je suis certaine que ta Ren exercera prochainement sa vengeance sur Lumaty. Par ailleurs, il semblerait que beaucoup prennent plaisir à la provoquer ^^]

Le fait d'avoir été repoussé, est simplement intolérable pour Lumaty. Il revient donc vers la jeune fille le regard noir et le visage fermé, de deux doigts brusque, il lui souleva le visage vers le sien, afin d'y observer sa réaction. Suite à cela, un sourire moqueur vient étirer ses lèvres lorsqu'il aperçut les rougeurs prononcer des joues de cette dernière. Au fond rassuré d'avoir provoqué en elle une réaction positive, il reprit toute son insolence méprisante jointe à ses manières impérieuses.

- Serais-ce ton tout premier baiser... ? Dans ce cas il faut remédier à cette malheureuse méprise. Laisse-moi me racheter...

Il desserra sa prise sur son menton tout en le maintenant néanmoins fermement afin qu'elle ne puisse s'en dégager. Puis il vient frôler ses lèvres sur les joues de la demoiselle et joua ainsi longuement avant d'y déposer de petits baisers délicat. Lorsqu'il arrêta ce manège, il enroula sa langue sur son index et pour conclure s'en prit aux lèvres de la jouvencelle dont il fit le contour avec le bout de son doigt. Puis avec délicatesse il l'attira à lui, lui caressa les lèvres de la pointe de sa langue, ensuite y déposa un baiser furtif au-dessus de ses lèvres, il vient ensuite en déposer un en dessous, ainsi que sur chaque extrémité avant de l'embrasser avec passion.

Je resta longuement paralysée par la peur, jusqu'à ce qu'il vienne se ré attaquer à mes lèvres. Hors de moi, je lui mis un coup de poing dans le ventre, le faisant s'éloigner de 2 ou 3 mètres. Mon regard, pris de haine, faisait peut à voir. Je revins à la charge, cette fois-ci frappant de coups de pied chaque parcelle de son corps. Je finis par un croche-patte, le faisant tomber violemment sur le sol.
Tout le monde s'était retourné vers nous, à la fois effrayés si la directrice revenait et pris de passion par ces coups sans retour.
- Dégagez, bande d'idiots ! criais-je.
Ma voix résonna tellement dans le hall qu'ils partirent tous en courant.
De nouveau au calme, j'en revint à lui. Je lui porta un regard qui se voulait effrayant, mais aucune réaction n'arriva de sa part.
- Réessayes, et t'es un mec mort.

-Wahhh ... Je crois que cet établissement et digne d'un asile de fou ... Pourquoi cette charmante demoiselle à t-elle repousser cet homme ?! Hum .. Un établissement plein de mystère à se que je vois.

Il resta caché. Bien silencieux comme à son habitude, il reste ombre. Son souffle régulier était devenu presque inaudible et ses yeux translucides. Pour temps, ça voix, elle, était présence et fessais grincer quelque mâchoires environnantes. Oui, grincer. D'où pouvait venir cette voix mélodieuse, mais tous aussi méprisante? Dans les profondeurs des ombre, une chose se cachait avec précaution avant de sortir de sa cachette.
Il se décida enfin. Il sorti, effrayant quelque élèves, certain peu habitués à voir des yeux pourpre et des canine si formaliser. Il se mit face au profil des jeunes gens et sens aucune gêne, il déclara:

-Hum ... deux spécimen tout à fait exceptionnel. Surtout cette jeune fille au sang chaud. Intéressent.

Tout le monde entendit alors une voix à faire frissonner. Plusieurs élèves partirent en courant, et mes cheveux se dressèrent sur ma nuque. Quelque secondes après, je l'entendait juste derrière mon dos, pour se placer devant nous sans la moindre hésitation.
Il faisait vraiment peur à voir, et pourtant je ne voulais pas partir, je voulais savoir quelques renseignements sur lui, surtout après ses paroles. Il me faisait penser aux vampires des légendes et aux loups-garous des nuits de pleines lunes.
Je me dressa d'un air déterminé, lui faisant face.
- T'es qui toi ?

( Hey ! Il est beau mon perso !! Mais effrayant, je le conçois.)

-Humm ... Moi? Je ne sais pas moi-même. Et toi, qui es tu? Tu m'intrigues, grandement, avec ton caractère très chaud.

Il l'examina, sans gêne. Regardant chaque parcelle de sont corps, comme s'il allait découvrir quelque choses. Un tic! Oui c'était certainement ça! Il passait sa langue sur ces lèvres, pour ensuite lécher sa canine blanche. Il plantait ses yeux dans ceux de la jeune fille et d'une voix sortie d'outre tombe.

-Hum .. appétissante ...

( Mais c'est pas vrai, tout le monde la drague ou quoi !

)

- Tu me cherches, toi aussi ?! T'as beau être bizarre, j'hésiterai pas à te frapper ! Te prends pas pour Dracula ! Tu vas me sortir que tu dors dans un cercueil aussi ?! dis-je d'une voix en colère.
J'entendis quelques petits rires frustrés provenant des personnes autour de nous. Mais cela m'était égal, c'était comme si il n'y avait que nous trois ici.
Je me mis en position de combat, comme lors de mes lointains cours d'arts martiaux.

-Un cercueil ? Merci pour l'idée la prochaine j'y penserais. Non, je ne dors pas dedans, sa ne ma jamais effleuré l'esprit. À vrai dire, je désires pas passer pour dracula, mais mon physique est tel qu'il l'est. Je ne cherche pas non plus, a me battre avec toi sa serai ...

Il disparut de la circulation. On entendait, mais très peu son rire lugubre. Personne ne savait où il était.

- ... ennuyeux ...

Sa voix douce et mielleuse, comme inaudible et sadique, retentit dans le hall. Il avait penché la tête, pour être a la hauteur de la jeune fille.

- Oses dire que je n'ai aucune chance contre toi !
Je fronça les sourcils. Ce mec ne m'inspirait pas du tout confiance, j'en était presque à le détester. Je devais forcer pour que mon pied ne le frappe pas et l'envoie à l'autre bout de la salle, cassant le lustre au passage.

-Tu veux ma taper, vas y !

Il se mit droit devant elle, sans peur. Elle leva son pied sur lui et le frappa .. mais dans le vide. Il lui murmura :

-Tu veux toujours me taper?

La colère de la jeune fille était a son paroxysme, elle tapait, toujours plus fort, toujours avec plus de précisons, mais pour tant, toujours dans le vide ...

- Alors?

Je frappais, frappais, encore et encore. Tout cel ne changeait rien, je frappais à chaque fois dans le vide. Même en frappant en quick move, qui me rendait très rapide, je le ratais. Alors que j'allais réussir, nous entendions, nous arrêtant net :
- M.RIVER, M.ELLE OGAWA, DANS MON BUREAU TOUT DE SUITE !!!
Les élèves, cette fois-ci partirent tous en courant.
Je reposa mon pied sur le sol, et l'autre mec s'arrêta.

( Désoée, j'avais pas d'idées

)

-Ah, Ah, enfin voilà, la magnifique et splendide directrice. Madame Sasori, c'est une joie de vous rencontrer, mais je me dois annuler votre proposition d'être juteuse. Je me verrais ravie de vous voire dans votre bureau, seul à seul dans une nuit de pleine lune. Sur ce très chère Dame, je vous laisse à vos occupation très intéressent.

Sur ce, il disparut. Personne n'avait rien vu. Sans laisser de traces. On pouvait toujours entendre sa voix sadique et douce en fond sonore. Mais cette fois, c'était très claire ... Tous les élèves avaient frissonner à cette entente. Encore plus, au moment où il avait défié Madame Sasori.

-Je reviendrais, je vous enterez ... Vous serez tous tétanisés à me revoir, vous aurez peur ... Mais dans le fond ... je n'existe que dans votre imagination ... rien de plus ... Maintenant ...

Une grande bourrasque de vent, la porte du Hall venait de s'ouvrir.

-Je vous laisser, vous et vos craintes ...

Un rire. C'était la dernier choses qu'ils avaient entendus.

[HJ : Oh là, je suis à la bourre ^^]

Lorsque la jeune fille déversa sur Lumaty toute sa colère, ce dernier ne bougea pas d'un centimètre afin d'esquiver les coups. Au contraire il la regardait avec le sourire aux lèvres, tandis que les yeux de la demoiselle le toisaient avec haine. Du moins jusqu'à ce qu'elle lui donne le coup de grâce, d'un croche-pied il finit par tomber, sa tête vient alors frapper violemment le sol et perdit lentement conscience. La dernière chose qu'il entendit était la voix de l'adolescente.

- Dégagez, bande d'idiots !

Néanmoins, il ne saurai dire si cette phrase lui était adressée ou non, puis progressivement les sons devinrent plus lointain et lorsqu'elle vient vers lui, malgré leur proximité il ne parvenait pas à entendre ce qu'elle lui disait, seul pour lui ses lèvres bougeaient, jusqu'à ce qu'il perdit totalement connaissance.

[ Mdr ! ]

Rha, décidément, il m'énerve, il m'énerve !!!!! Il m'emmerde en esquivant mes coups, et il se barre comme si de rien n'était ! Imbécile de première catégorie, je te retrouverais !!!!! Tu me fais pas peur, reviens, je t'attends de pied ferme !!!!
Lorsque je repensa à la directrice, elle venait de voir Lumaty étalé sur le sol. Et merde, c'est bien ma veine ça !!!!!
- Euh...Désolée madame, mais moi aussi je dois y aller !!!!!
En un quick move, je me retrouvais à l'autre bout du hall, abandonnant Lumaty à son triste sort. Pas grave, il l'a bien cherché ! Malgré cela, j'éprouvais quelques remords en le laissant là avec la directrice qui le détestait déjà. Je partit en courant, tout en quick moves, ce qui donnait l'impression que j'étais transparente avec la vitesse.

Mme Sasori s'arrêta à mi-chemin, lorsqu'elle prit conscience qu'aucun son ne résonnait derrière elle, elle se retourna et en effet Lumaty n'avait visiblement pas semblé la suivre. Mlle Aiko l'avait tant énervé, qu'elle avait laissé Lumaty derrière elle. Elle revient donc sur ses pas, certaine de le retrouver non loin, mais quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'elle perçut au fond du couloir un amalgame d'élèves. Sur son passage tous s'écartèrent, lui laissant ainsi constater un bien triste spectacle, deux élèves étaient de se bagarrer dans SON établissement, tout cela était INTOLERABLE. Non seulement Melle Aiko se permettait des réflexions déplacés, mais en plus elle osait aussi souiller la réputation de l'école, cela ne pouvait être.

- M.RIVER, MELLE OGAWA, DANS MON BUREAU TOUT DE SUITE !!!

Néanmoins, elle n'eut même pas le temps de s'approcher des deux protagonistes, qu'ils avaient déjà disparus, quel toupet. Le spectacle terminé, les élèves retournèrent à leur occupation, laissant ainsi un Lumaty allongé au sol. Qu'est-ce qui avait bien pu se passer, à peine avait-elle le dos tourné que les ennuis se manifestait.
Mme Sasori se tenait droite le visage sévère toisant l'assemblée enquête d'information, cependant la plupart avaient déjà prit la fuite et ceux encore présent semblaient incapables de lui répondre tant ils étaient pétrifiés à la vue de la directrice. Son regard se porta donc de nouveau sur Lumaty.

- M. Angéline ayez l'obligeance de vous lever je vous prie.

Visiblement sa voix avait fini par éveiller Lumaty, fort-heureusement, car elle n'aurait pas apprécié de devoir le laisser là afin d'aller chercher l'infirmière, ce dernier aurait certainement saisit l'occasion pour lui échapper une nouvelle fois. Mais maintenant qu'elle le tenait, elle ne lui laisserait pas la chance de se dérober avant qu'elle n'ait pu prononcer sa sentence.

- Votre sieste maintenant terminée, veuillez me suivre ! Par ailleurs vous avez reçus un courrier de votre oncle... Et je suis certaine que cette lettre vous intéresse, ... ai-je tords ... ?!

Bien qu'elle n'avait pas souhaité le lui en parler avant d'être arrivé à son bureau, néanmoins elle était persuadée que cet élément saurait domestique Lumaty et que cette fois-ci, il la suivrait sans même qu'elle ne prenne la peine de lui demander, ce qui n'était pas faux.

Au loin la voix de Mme Sasori résonnait à ses oreilles. Tout son être souhaitait reprendre totalement conscience pour fuir au plus vite, néanmoins bien qu'il revenait peu à peu à lui, son corps quant à lui refusait toujours de lui obéir.

Lorsqu'enfin il parvient à ouvrir les yeux, il les referma aussitôt. La directrice à quelques pas de lui le toisait de toute sa hauteur. Et bien qu'ayant recupé les facultés de son corps, il refusait de se lever, il espérait ainsi qu'elle s'en aille chercher de l'aide, le laissant par cette occasion seul avec la possibilité de se dérober. Seulement, il semblait qu'elle l'eut remarqué quant-il avait à peine soulevé les paupières pour voir où elle se trouvait. N'ayant d'autre choix, il se leva paresseusement, près à subir les conséquences de son comportement tant-tôt.

Toutefois, à l'annonce d'une lettre de son oncle, le comportement de Lumaty changea radicalement. D'une démarche non-chaland, il était à présent près à courir jusqu'au bureau de la directrice, même si cela signifiait se plier à la punition avenir.

Seulement maintenant Mme Sasori n'avait plus l'air aussi pressé que tout à l'heure au contraire cette dernière prenait un malin plaisir à le torturer, il lui semblait qu'elle avait même ralentit l'allure. Lumaty marchait derrière elle avec l'envie folle de la pousser vers l'avant afin de la faire avancer. Néanmoins, il n'en fit rien et la suivit docilement, à plusieurs reprises Mme Sasori se retourna le sourire aux lèvres. Oui il en était à présent certain, elle le faisait exprès, car elle s'avait pertinemment qu'il la suivrait où qu'elle aille du moment qu'au final il recevait sa lettre.

Les nerfs à fleur de peau il se mourrait d'envie de la provoquer, bien qu'habituellement cela ne l'aurait pas dérangé puisqu'il savait que les punitions qu'elle lui infligerait n'aurait aucun effet pour la simple raison qu'il ne s'en acquitterait pas et que faire d'autre si un élève se refuse à subir les corvées indiquer, elle ne pouvait ne pouvait tout même pas se permettre de le frapper, par ailleurs quel effet cela aurait-il sur Lumty ... et le renvoyer, il le savait, que cela lui était impossible, sans quoi elle se retrouverait avec la famille Rosenthal à dos et cela elle n'en prendrait pas le risque.

Cependant là, elle le tenait, même s'il lui passait devant, il serait obligé, une fois arrivé à son bureau de l'attendre et savoir que seule une porte le séparait de la lettre de son oncle serait insupportable. Quant à la précipiter vers l'avant, pour une fois il craignait sa colère qui pourrait lui interdire la seule chose qui avait de l'impact sur lui.

Il la suivait donc tel un condamné dont on promettait la liberté. Et enfin arrivé devant la porte du bureau de la directrice, il avait le coeur qui battait à tout rompre et s'il s'écoutait il se serait saisi des clés afin d'ouvrir cette maudite porte, néanmoins une nouvelle fois encore il n'en fit rien, il modéra son impatience, le regard rivé sur la clé qui tourna avec lenteur. Encore quelques minutes et il pourrait enfin la voir, encore quelques minutes et il pourrait la toucher, encore... encore quelque instant avant d'être ailleurs, même si ce n'est que par l'esprit, il serait là-bas près de son oncle, comme si les mots étaient prononcés par celui qu'il aime.

Cela faisait des mois que je n'étais pas revenue dans ce lycée qui avait pendant longtemps été ma maison mais tout était resté exactement pareil ... Les odeurs , les sons ... rien n'avait changé c'est sur . Je me souvenue donc être partie pour une affaire en France et aujourd'hui d’être la directrice générale de l’entreprise d’armement la plus connue au monde : « Stark Industry » et milliardaire seulement a 17 ans . Comment cela met-il arrivé ? Et bien c’est très simple : J’avais donc décidé de partir en France pour gérer la fortune de ma mère adoptive défunte . Mon oncle grâce a l’adoption , âgé alors de 58 ans , me pris sous son aile et me proposa alors le travail d’ingénieur dans son entreprise en développement mais déjà connu dans le monde entier que j’accepta volontiers grâce a ma passion pour les armes et le combat . Démarrant au plus bas niveau , je gravie les échelons de la société pour finalement terminer au grade de directrice adjointe . Tout se passer au mieux lorsque mon oncle mourut fatalement d’une cause inconnue . Son testament étudié , il s’avéra qu’il m’avait nommé héritière . La presse afflua alors autour de moi , j’étais marqué dans les gros titres dans les meilleures journaux mondiaux .

« Tatsumi Mikuo , héritière de génie .

Tatsumi Mikuo , milliardaire, n'est pas seulement l'héritière des usines d'armement de son oncle, c'est également une inventrice de génie . Cette jeune japonaise orpheline fut adoptée à l’age de 7 ans par la très célèbre millionnaire française, Lyli Mikuo ,de son nom de jeune fille Lyli Stark, mariée au défunt chef d’entreprise de marketing japonais , Mr Yasu Mikuo . N’ayant pas d’enfant et sur le point de mourir , Miss Mikuo adopta la jeune Tatsumi dans un orphelinat pauvre pour devenir son héritière . La jeune fille , ayant toujours eue la passion des armes fut depuis longtemps la protéger de son oncle , Mr Howard Stark . En mai 2003 , Miss Mikuo décéda laissant alors toute sa fortune à la jeune Tatsumi qui s’élevait alors a plus de 25 millions de yens . N’ayant pas connu le monde qui l’entourais , la nouvelle millionnaire partit poursuivre ces études dans un collège secondaire puis entra ensuite en 2009 dans le lycée Tougen'kyou . Ne restant alors que quelques mois dans ce lycée , elle décida de partir en France pour gérer sa fortune . C’est alors que son oncle , désormais a la tête de l’entreprise d’armement la plus connue au monde , la pris sous son aile et lui offra un travail d’ingénierie . Elle créa alors le missile Jérico , vendu aux Etats-Unis pour la simple somme de 45 milliard de dollars . Elle gravie les échelons de l’entreprise seulement en quelques mois et parvenue aux cotés de son oncle en tant que directrice adjointe . Le 30 juin , Mr Stark décéda alors de cause encore inconnue pour nos journaux , ce qui fit donc de Tatsumi la seule et unique héritière de l’entreprise , dont les économies s’élevaient a des milliars d’euros . Etant alors la cible préférée des journaux grâce a son ascension fulgurante mais aussi pour être tenue en compte du décès de son oncle , elle déclara officiellement son innocence puis disparut alors et n’annonça plus rien a la presse . »

J’avais décidé de me vider de tout ce stress qui m’envahissait jour après jour et voici donc pourquoi j’avais choisi de repasser quelques jours ici … Me glissais alors dans la peau d'une "simple" lycènne , j'avais l'intention d'attendre que toute cette affaire se calme pour reprendre la ensuite la tête de l'entreprise de mon oncle .

Je trouve que le lycée à perdu son agitation habituelle, ce n'est plus le même que lorsque je suis arivée. Maintenant, les élèves obéissent au doigt et à l'oeil au réglement, et on entends plus beaucoup de bruit dans le hall ou les salles de cours. Où sont donc passés tous ceux qui mettaient le bazar, tous ceux qui attiraient la joie de vivre à ce lycée sans vie ? Même moi, je ne suis plus la même, j'ai perdu l'habitude de rire et de sourire dans cet endroit où je ne voix plus de connaissances, plus d'amis, plus d'amour... Non Aiko, ne repenses pas à lui, tu te l'ai dit toi-même, tu as fais une croix dessus. Une partie de ton coeur est partie, arrêtes de te morfondre et entretiens ce qu'il en reste !
Pensive, je ne faisais pas attention et me cognait contre des élèves qui se dépêchaient daller en cours. Je m'assaya sur un banc, regardant parfois le sol, parfois le plafond. Je m'ennuie tant, je regrette presque cette aventure saignante durant la chasse au trésor, qui se suivit de plusieurs semaines de convalescence. Ainsi, repensant à tous les bon moments de ma vie, je ne faisais même plus attention au élèves qui me passaient devant.

je déambulais dans les couloirs. Ca faisait longtemps, très longtemps même que je n'étais pas venus ici. Ma vie avait prit un tournant un peu particulier dernièrement. Shunsuke m'avait lamentablement laché. Oui, c'était bien lui qui était parti. Je ne sais pas pourquoi et je n'ai eu le droit à aucune explication digne de ce nom. Depuis, je ne l'ai pas revu mais je penses sans cesse à lui ... Je pense que je vais déménager ... Je ne supporte plus de vivre dans cette appartement où notre "amour" a mijoté. Je n'en peux plus de dormir dans le lit où il y a encore son odeur. Je vais faire une croix sur lui et je me trouverai quelqu'un d'autre de mieux ... ou tout du moins de bien.
Je retourne en cours car je n'ai rien d'autre à faire, je pense que je vais me chercher un petit job aussi, pas spécialement pour gagner de l'argent car je n'en ai pas vraiment besoin mais plutôt pour passer le temps.
Shinji et Izumi vivent la vraie amour et je n'ai pas trop envi de les déranger ...
Akimitsu est parti, il continue sa vie et mes autres amis ou tout du moins connaissances, je ne sais pas, ca fait longtemps que je ne les ai pas vu ...
Je me demande ce que je ferai une fois que j'aurai fini mes études ... j'aimerai devenir dessinateur ... mais je n'ai pas beaucoup de talent ... Je serai plus payer si j'étais une pute ... mais bon ce n'est pas la meilleure idée du siècle ... quoi que.

Me voilà finalement dans le hall. Je cherche du regard quelqu'un que je connais, avec qui je pourrai discuter et passer un peu de temps.
Je ne suis pas du genre à déprimer alors je souris, il est presque sincère mon sourire, c'est juste qu'au fond de moi je suis ... nostalgique ... oui c'est le bon mot.
Je reconnais Aiko, assise sur un banc, elle a l'air triste, pourquoi ? Je m'avance doucement d'elle, ne voulant pas la brusque. Elle ne me remarque pas.
Je m'assoie alors à côté d'elle sur un de ses petits bancs.

- Salut Aiko !

Je me rappelle encore de cete image qui m'a tant marquée, celle de Shinji durant le combat dans la forêt qui s'amusait à se faire mal, elle était devenue folle... Brusquement, une voix que j'entends à côté de moi m'enlève tous mes songes de la tête, me faisant légèrement sursauter. Je remarqua quelqu'un à côté de moi, et je sais que c'est cette personne qui m'a parlé. Ce visage, cela fait si longtemps que je ne l'ai vu. Mais pourtant oui, c'est bien lui, c'est Keita. En fait, je n'ai pas eu de nouvelles de lui depuis la fin de la chasse au trésor, je sais juste qu'il a dû aller en service de psychiatrie, accompagné d'Izumi. Et pourtant, il n'a pas changé, il a le même visage et le même sourire que dans mes souvenir.
- Keita !! dis-je, un grand sourire aux lèvres.
Je suis plutôt heureuse de le voir, moi qui attendait de la compagnie. Et lui, il sait bien rigoler, c'est plutôt une personne idéal quand on veut passer un moment joyeux. Et quel moment n'est plus joyeux que des retrouvailles ? Je me le demande.
- Comment vas-tu ? Ca fait si longtemps !!

Je lui souris doucement, je ne suis pas son grand ami mais elle est gentille Aiko. Un peu surexcité de temps en temps mais ca n'a pas l'air d'être le cas là ... j'ai plutôt l'impression qu'elle est triste ou nostalgique ... comme moi. C'est vrai, cette expression était peinte sur son visage quand elle était dans ses pensées. Je ne l'avais pas vu depuis longtemps, pourtant, elle n'a pas trop changé, ses cheveux ont poussés de quelques centimètres, comme les miens d'ailleurs, il faudrait que je pense à me les faire couper ... Ils ont d'ailleurs foncés, toujours argents mais à présent j'ai des mèches noirs, beurk, c'est pas beau !
Je lui réponds finalement, mes lèvres toujours retroussées dans un sourire.

- C'est vrai que ca fait un bail ma petite.

Le surnom, c'est juste pour l'emmerder un petit coup. D'un côté elle est petite, elle fait presque une tête de moin que moi.

- Je fais aller ... Shunsuke m'a larguer donc voilà ... c'est pas la grande joie ! Mais faut faire avec !

Je lui souris à nouveau. Je n'allais pas cacher ce qui ne va pas. Je ne vais pas dire que j'aime me faire plaindre mais presque, c'est toujours agréable d'avoir quelqu'un a vos côtés qui vous soutiens moralement.

Il m'embête celui-là, à toujours me dire que je suis petite ! Ca va hein ! C'est un méchant de toute façon !! Non, arrêtes Aiko, arrêtes de penser comme ça, tu ne vas que faire confirmer ce qu'il dit... En même temps, j'admet qu'au niveau taille, je ne suis pas grande, mais bon, c'est pas une raison quand même... Quoique, peut être qu'il pense comme ça après tout, ça m'étonnerai pas ! Mais même si il s'amuse tout le temps à se moquer de moi, je l'aime bien quand même, comme un copain quoi ! Et puis, quand on est nostalgique, c'est toujours bien d'avoir un ami pas loin.
Alors que je m'estimais heureuse, ce qu'il me dit ensuite fît tout à coup tomber mon morale. Shun ? Lui, il a lâché Keita ? C'est impossible, eux qui s'aimaient tant... Même s'il ne m'ont jamais dit trop ouvertement leurs exploits sexuels, mais je savais qu'il s'aimaient vraiment, ce n'était pas difficile à deviner. Mais comment Shun, ce gamin idiot ( j'adore trop ce surnom pour lui

), a-t-il pû lâcher aussi facilement Keita ? Mais si il le dit, et à en croire son ton, il ne ment pas. Et pourtant, j'ai du mal à me faire à cette idée. En fin de compte, Keita et moi, nous étions pareil. Nous avions tout les deux vécus l'échec brusque d'un amour passionné, mais je pense que c'est plus dûr pour lui que pour moi. Eux, ils se sont aimés plus longtemps, ils ont passé plus de moments intimes ensemble. Aki et moi, ce n'était qu'un relation qui n'aurai pas pû duré longtemps, malgré l'amour que j'avais pour lui. Que faire ? Keita a l'air si démoralisé suite à cette séparation, lui qui est habituellement joyeux et souriant, sans être excentrique. Peut être que lui changer les idées serait une bonne choses ? Moi, je n'avais eu personne pour m'aider durant cette épreuve, alors qui je peux lui en faire bénéficier, pourquoi ne pas en profiter ?
- Keita ! reprenant ma voix habituelle, du moins je l'espérais, cela faisait longtemps que je n'avais pas parlé avec la même voix joyeuse et énergique. J'ai faim !! Tu veux pas aller manger un morceau ? lui demandais-je, espérant remmettre un peu d'ambiance à cette rencontre.

Je me retournais vers elle, surpris.
C'est vrai que c'était el début d'après midi et que je n'avais rien avaler depuis ma tasse de café matinale mais je n'avais pas spécialement fin. Il faut quand même que je mange, je ne vais pas me laisser mourir, surtout pas à cause d'un pauvre idiot qui m'a largué ! Allez faut que je m'en remette et Aiko a raison, manger sera la première des bonnes choses à faire.

- Ok mais on va au restau alors !

Je ne connais pas trop les revenus d'Aiko mais je ne pense pas qu'elle ai autant d'argent que moi malgré qu'elle soit dans ce lycée prestigieux.
Malgré mon homosexualité, j'étais quand même un minimum galant avec les filles, alors j'ai rajouté.

- C'est moi qui paye !

Je me suis alors levé et lui ai tendu la main pour qu'elle se lèvre du banc où elle avait presque l'air d'être incrustée.

Les portes s’ouvraient sur un homme, un très bel homme. Ses long cheveux blanc étaient attaché en couette, marquant finement ses traits pure. Ces yeux pourpre brillaient d’une lueur négative mais si envoûtante. Ses fine lèvre roses, cachaient des dents blanches et acérés.

Il portais un baggy noir avec une tee-shirt XXL. Ses chaînes teintaient d’un son lugubre. Les mains dans les poches, il toisait toute les personnes présente dans le hall. C’est à ce moment là qu’il reconnu: Aiko. Cette femme qui l’intriguait toujours au tant. Cela fessait un bon bout de temps qu’il ne lavait pas vu.

-Aiko …

Sa voix raisonnait tel une mélodie d’église. Envoûtante et menaçante. Les gens du hall avaient pris un frisson de peur. Il cherchait d’où pouvait provenir la voix.
Il glissait toujours au tant vers cette femme. Dès qu’il fut à ça hauteur il lui glissait un mot, juste un seul …

-Je suis de retour …

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