Le Bureau De Mme Sasori

Izumi et moi avions fini d’enfiler notre uniforme, que nous sortions déjà de l’appartement. Le jour où nous avions rendez-vous avec a directrice, nous étions en retard. Probème de réveille. Pour ne pas mentir, j’appréhendais ce rendez-vous. Malgrès le fait que mes parents ne s’occupe pas de moi, s’il apprenaient qu’on me virais … Je suis sur de les révoire là, et je n’ai pas très envi justement. J’espert simplement, qu’elle ne va pas me virer et virer Izumi, par le même occasion, histoire de faire d’une pierre de coup. Supprimer queque élèves « perturbateur », qui pourrait nuire à l’image de l’établissement. Ça me fessais rire quand elle disait ça ! C’est elle qui fait tâche ! Pas nous !
Tout en marcahnt, d’un pas rapide, je soufflais. Désespéré l’idée de revoire prématurément, mes cher et tendre; adore et gentil, parents. Les seules choses que je ne voulais pas revoire, j’y étais contrainte. Heureuse qu’Izumi est là au cas où ils surgiraient de nulle part, pour me prendre et me ramener …. A NEW-YORK ! À non je ne veux pas ça ! Je ne veux pas partir moi, je suis très bien ici ! Mais comme je suis mineur, ils ont encore l’autorité parentale … Ce qu’il fait, que je ne peux pas encore décider de mes libertés. CATASTROPHE ! Je hais les situations sans issus.


Je voulais plus y penser. Notre marche jusqu’au lycée se fit dans un silence religieux, perturbé seulement par des grognements, qui surgissaient malgrés eux de nos pensés.
Notre arrivé au lycée ne se fit pas dans le calme. Malgrés que nous ne souyons pas très populaire et j’en remerci dieu pour cela, des éleves nous « taquinaient animalement » sur le fait qu’il ne nous avait pas vu depuis des lustres et des lustres. Ma patience à des limites, mais ce n’étais pas le moment de craquer. Si ont se fessaient remarqué, la directrice ne nous épargnerait pas, là sa serait sur!


Nan, mais il se prend pour qui lui ! Il n’a pas à savoir notre vie, non mais !
Malgrés le fait que j’avais pris de bonne résolution, je n’avais pu m’empêcher de lui coller mon poing dans sa tête de morue sèche. Mais là je dois avouer, sa fait vraiment, mais vraiment un bien fou.


Sans demander mon reste, que je n’attendais pas, je courru à le suite d’Izumi qui appréhendais autant que moi. Qui n’appréhendrais pas, en sachant qu’il allait passer plus d’une heur dans cette prison ?
Je passais la première ne voulant pas jouer la mauviette. Pourtant, mes jambes tremblaient. Ma mains touchais la porte en bois, même elle, elle, est froide! Glacé, comme pour nous montrer ce qui nous attendai … À l’intérieur. Mon dieu.
Ma main tapait un petit coup, puis deux autres coups plus secs et forts. Je déglutissais bruyamment, cherchant, désespérément, un secour. Rien ne me venait à la tête, c’est là que la voix puérile et sadique de la directrice, se fit entendre.


Un seul mot, juste un seul, qui me figais sur le sol. Mes yeux étaient rivés sur la porte en bois, je suppose cher. Je respirais pour me redonner confiance, mais c’était dur, nous allons nous confronter à un monstre!
Izumi passait devant moi, baissant la partie métalique de la poigné, se qui fessait grimçer les gonde veille de la porte. Nous entrâmes tout les deux dans la pièce, qui sentais la morte, du certainement au élèves nous précédant. Au moins, elle se sera déjà défoulée!
De ces longues mains crochu au ongle démesurément long, elle nous fit signe de nous asseoir. Je pense qu’Izumi et moi, nous avions agis avec syncro. Qui ne serait pas onnubiler par ces iris noir profonde, qui cracherait presque du dégoût en nous voyant ?
Elle nous toisait un petit moment avant de parler. Je préférerais qu’elle nous toise, qu’elle nous parle personnellement ! Sa voix sadique et rauque ne me plaisait guère !


Supprime ? Cette femme, était qu’une enveloppe charnelle remplis de haine ! Ces dernier mot, avait était prononcé avec amour et passion. Ce dégoût qu’elle avait pour nous ne se lisait pas seulement dans ces yeux, mais dans la manière de nous parler.
Elle nous toisait, encore plus intensément que tout à l’heure, un rictus déformant son visage diabolique!


Sens fut trop, le me crispais totalement sur ma chaise, essayant, du mieux que je pouvais, de contrôler mes tremblemant qui secouaient mes jambes.
Comment répondre, à tant de provocation ? Comme répondre à un être diabolique, qui, ont dirait, vous boufferai dès qu’il posait ces yeux sur vous ?
Cette phrase, elle s’était amusée à la dire, nous glaçant petit à petit. Je sentais que les larmes me montaient au yeux. Ma fierté était en jeu.
Une élumination ne vint à l’esprit. Son but et de nous faire céder devant elle, pour que l’ont summilie nous même ! Que nous perdions toute fierté.


Pour elle nous ne sommes que des choses inutile. Au tant répondre en conséquent.

«
De son poing fermé, elle tapa avec rage le bureau, qui décolla du sol, pour se reconvertire une fraction de seconde en oiseau. Drôle de comparaison, je dois avouer. Cette dernière me fit sourire. Un petit sourire. Malheureusement, il ne dura pas longtemps. La voix de cette sorcière me détruisait les tympans.
Elle ne hurlait pas, elle s’égociaillé comme une gamine sur sa chaise de bureau.


Elle se rassit dans son fauteuil de cuire se calmant petit à petit. Pour elle nous étions des sous-merde, une espèce d’homme immature et primaire, qui ne servait à rien dans ce monde. Belle description. Alors pourquoi devenir directrice d’une école de sous-merde ? Cette femme était tout bonnement incompréhensive.
Et si elle était comme ça, parce qu’elle avait besoin d’amour? Qu’elle n’était pas aimée ?
Ne me dite pas que je prend cette femme en pitié, dieu je vous en supplis.


Alors c’était fini. Mes parents allaient bel et bien débarquer ici ? Pourquoi le monde est injuste avec moi ? J’ai fais quoi pour mériter ça moi ? J’ai de bonne note dans l’ensemble, le fait que je ne vienne pas en cours, suffirait à me ramener à New York ? Mais je ne veux pas, y retourner !
Elle se qu’elle voulait, c’était nous voire souffrir, par nos propre proche, comme si elle rendait la pareille à son passé. Comme si, elle aussi elle avait souffet à cause de ses proches.

Mmh ? De classe sociale inférieure ? Qui vous l'a dit ? Ce ne sont même pas mes parents qui m'ont inscrits ici. Et puis, vous vous croyez bien supérieure derrière votre bureau là, à nous fusillait du regard, mais ne croyez pas que vous m'impressionez. Loin de là. On fait un peu ce qu'on veut, et sans votre permission. Les parents de Shinji sont en route ? AHAH la bonne blague. Ca fait bien longtemps qu'ils ne sont pas parlés, et je sais mieux que vous, s'ils viennent ou pas.

Non mais. Pour qui elle se prend elle. Je posais mon regard dans le sien, et l'observais. Elle ne pouvais avoir le dessus.

RETENUE, hurla-t-elle à mon intention, dans un cri plutôt aigu. Vous croyez vraiment que je vais me laisser marcher sur les pieds par un petit morveux de votre genre ? Vous vous trompez, jeune homme. Quant à votre classe sociale, j'ai les preuves de ce que j'avance.

Désolé, je n'ai rien trouvé.

Reposez ça, DE SUITE ! è.é Je vais vous le dire franchement. Vous m'insuportez. Tous les deux. Shinji, je croyais pouvoir vous faire honoravblement confiance. Mais je vois que nos accords ne tiennent plus.
Quant à vous, je pense qu'une journée et demie de travaux d'intérêt à la cave vous fera le plus grand bien. Vous ne serez pas seul. J'ai consigné d'autres élèves. Sortez maintenant.

« Mademoiselle Sakuranbô, nous ne vous entendons plus, que vous arrive t-il ? »

« Monsieur Yamishita, votre « Conjointe » ne doit pas se sentir bien. Vous devriez peut-être la mener à l’infirmerie. »

« Madame selon le respect que je vous dois … Arrêtez de bien vouloir vous en prendre à Izumi. Je vais bien. »

« Bien, je vois que vous commencez à comprendre. »

Passes moi ton portable.