Le Grand Parc

Rappel du premier message :

Ce parc est vraiment immense et naturel.
Il y a des cerisiers du Japon, qui au printemps sont en fleurs et donnent un magnifique paysage rose.
L'herbe est verte et les allées en graviers sont bien entretenues.
Si vous vous éloignez de l'entrée vous trouverez une forêt de banbous et encore plus loins un petit ruisseau qui coule doucement sur les pierres mousseuses, formant un petit étant où nagent quelques poissons rouges.
Les élèves viennent s'y reposer après de longues journées de cours.

( ouais !!! =D je commence ! )

Tout était flou autour de moi... Mes jambes me faisaient intensément mal... J'entendais un bip bip continu juste à côté de moi... Je me sentais couchée sur quelque chose de mou....Où suis-je ? Je ne suis plus dans la forêt... Et Shinji et les autres ? Je ne les entends plus !
J'ouvre mes yeux en grand. Tout devient plus net petit à petit....Je suis à l'hôpital ? Mais comment ?
Je me lève brusquement, me faisant mal davantage... Je regarde autour de moi...Soudainement, la porte se trouvant au fond de ma chambre s'ouvre... Une infirmière entre, portant une seringue... Ah, j'aime pas les piqûres !!!
- Qu'est-ce que vous faîtes debout ? Recouchez-vous immédiatement !
Elle me force à retomber sur le lit. De toute façon, je n'ai pas assez de forces pour résister... L'infirmière me pique le bras ( mais aĩeuh ! )...
- Où est Shinji ? Et Keita ? Et Izumi ?
- Restez tranquille ! Vos amis sont dans différents services. Nous avons envoyé les deux garçons en service de psychiatrie, et votre amie est encore en réanimation...
Je sautes du lit, faisant tomber les patchs qui me reliaient à la machine qui mesure les battement de mon cœur. J'étais juste vêtues d'une chemise un peu trop grande pour moi, m'arrivant à la moitié des cuisses.
Je sors en précipitation de la chambre, et pénètre dans le grand couloir de l'hôpital. L'infirmière me poursuit, me criant après.
J'ouvre plusieurs portes, cherchant afin celle derrière laquelle se trouvait Shinji. L'infirmière finit par abandonner sa poursuite, mais des médecins m'attraperont dès que je retournerait dans ma chambre, je le savais.
Je trouve finalement la chambre convoitée. Je ne fais pas attention à l'écriteau interdisant aux personnes excepté les médecins d'entrer. Je pénètre en trombe dans la chambre, mais me calma rapidement. Je voyais une silhouette dans la lit...Je m'en approcha lentement, et reconnu Shinji....Ce spectacle m'effraie quelque peu...
Elle est couverte de beaucoup de bandages sur tout son corps, excepté son visage, recouvert d'un masque à oxygène. Une machine laissait comprendre que son cœur battait lentement...Je pris une chaise, et m'assis à côté de son lit. Je savais que c'était impossible, mais je voulais à tout prix rester là, jusqu'à ce qu'elle se réveille... Je me maudissait indirectement moi-même, me disant que nous n'aurions jamais dû aller à cette chasse... Sans cela, rien ne serait jamais arrivé...
Je contemple ses cheveux, devenu courts depuis l'un de nos combat...
Je resta là, pendant un long moment... Aucun médecin n'ose entrer dans la chambre, et pourtant, il savent tous que je suis là....

( Je m'invite direct

)

(lol !!)
Le noir. Oui, la seul couleur que je pouvais distinguer parmi tous ces bruit, plus sourd et horrible les un que les autres. Des BIP assourdissent qui marquait le rythme de mon cœur, qui lâchait de plus en plus. Des bruit de fer qui s'entrechoquaient au dessus des mes plais.
Un odeur acre du sang me parvenais. Je me sentais faiblir de minutes en minutes. Les médecins criaient, mais je ne comprenais pas leur paroles. Mais, moi, je le savais, j'en étais consciente : Je ne survirerais pas.
Plongeant de plus en plus dans un léthargie bercé par les bruit métallique qui créaient une ondine funèbre.
Mes poumons ne respiraient plus, mes yeux se fermaient, je me sentais bien ... Je plongeais dans le coma, ou plutôt: je me mourais.
Je sentais les électrochocs que les médecins affligeaient a mon pauvre corps. Je ne savais pas combien de temps j'était restée là. Des piqures, des chocs, des pièces métalliques dans mon corps, je ne sais combien j'en ai eu.
On m'avais conduit dans une pièce ou je comatais : en paix.
Ma vie n'était peut-être plus en danger, mais mon esprit se perdait de plus en plus dans les profondeurs de la mort : Cette fois, j'étais sur le pont de la mort, a tous moment je pouvais basculer se qui me conduirais :À la mort certaine.
Pourtant au fond de moi, je sentais que quelqu'un étais proche de moi. Je savais que j'avais des choses a protéger, mais quoi ?! Je n'avais ni conscience ni cœur, j'étais une coquille vide. Mes souvenirs n'étaient plus qu'une fine poussière d'argent, ma vie n'était plus qu'une gourde d'or sans vin.
Je sentais à mes cotés une présence permanente qui restait, certainement des heures ou des journée. Je n'en sais rien. Le temps c'était arrêté pour moi; et qui n'avait plus aucune signification.
Pourquoi je sentais qu'il fallait que je m'accroche ? Pourquoi je devais vivre ? Ces questions restèrent en suspense jusqu'à mon réveillé ou resterons vide de réponse.
Après quelque temps, je pense, je commençais a attendre quelque bruit ou parole. J'avais entendu, certainement une infirmière, qui disait que cela fessait bientôt plus de deux mois que j'étais comateuse, et que mes parents et le médecin avaient décidé qu'ils me débrancherait.

Plus loin dans un bureau, remplis de diplôme, trois personnes siégeaient autour d'un bureau vitreux. Deux personnes, habillés avec élégance et gout, pleuraient dans les bras l'un de l'autre. L'autre, était un homme, assez âgé qui était en blouse blanche. À voire cette scène les deux personnes dans les bras l'une de l'autre pleuraient pour uen cause qu'ils venaient de perdre. Le médecin lui avait une mine triste.
Il toussa pour s'éclairsire la voix et il déclara :
" Monsieur et Madame Sakuranbô, je vous pris de m'écouter encore une fois -
-Comment voulez vous que je vous écoutes docteur ? cria la femme. Ma fille est entre le vie et le mort, elle peut mourir d'un jour à l'autre ! Je ne peux plus rester ici a vous écoutez dire n'importe quoi, sur le sort de ma progéniture !
Elle se leva et claqua violement la porte dernière elle, laissant son mari sans voix et le médecin encore plus désoler.
-Je vous pris de l'excusez, Docteur. Ma femme est très sensible surtout quand il s'agit de sa fille. répliqua l'homme pour brisé le silence.
-Je vous pris, ne vous excusez pas. Je comprend sa réaction. Mais je vous le redit. Votre fille souffre dans l'état où elle est, il faut-
-Docteur je vous pris n'en dite pas plus. coupa l'homme.
-Bien, je vous laisse réflechir."
Les deux hommes se levèrent et se serènt la main. L'homme chiquement habillé quitta le bureau.

Dans une autre pièce se trouvais une jeune fille, au jambes bandé qui veillait sur un personne couché sur le lit. La jeune fille assise avait un visage angoissé en comtemplant le visage sereint de son amie. Les minutes, les heures, les jours, passaient, mais rien. Elle n'ouvrait pas un oeil, ne bougeais pas : rien. Mais pourtant, dieu sait à quel point elle se battait et à quel sommet ces amis priaient pour elle.
Après plus de 4 mois à l'hôpital, un soir, la jeune fille se leva encore une fois, sans rien, de sa chaise et partis de la cahmbre de son amie. La chambre numéreaux 66, elle sens souviendra toute sa vie.
En sortant de la chambre 66 elle tomba nez à nez avec un garçon. Il était blond au yeux rouge puissant. Il resemblait a son amie, son portrait craché. Elle le défigura mais ne dit rien. Une voix rauque mais douce sortit de ses lèvres pulpeuse et rose:
" Que fait tu dans cette chambre ?
[ ... ]

( ça me fait trop penser à Kisshô !!!! =O )

Cela faisait à présent plusieurs mois que j'attendais, là, sans autre compagnie que le silence... À présent, les infirmières m'apportaient mon repas dans ma chambre, ne cherchant plus à me la faire quitter... Je repensais à mon père, mort sur son lit d'hôpital....
- Non, ne meurs pas Shinji, pas toi aussi....dis-je, en chuchotant...
Je tombais sur le côté de son lit, versant au passage quelque larmes. Je le savais, elle avait peu de chances, mais j'espérais tant qu'elle s'en sorte...
Plusieurs jours passent encore... On m'avait dit d'aller dans ma chambre pour une révision de mes jambes... C'était avec tristesse que je sortais de cette chambre, la fameuse chambre 66 dont les infirmières du service n'arrêtaient pas de parler... Lorsque j'ouvris la porte, je me retrouvais nez à nez avec un garçon... Ce garçon ressemble tellement à Shinji.... Qui est-il donc ?
- Que fait tu dans cette chambre ?
- Et vous, qui êtes-vous ? lui rendis-je, avec une petite voix. Cela faisait tellement longtemps que j'étais restée sans rien dire que je ne pouvais presque plus parler...
- Mais voyons, ça ne se voit pas ? Je suis...
( désolée x'D Je sais pas qui c'était !!!! )

Il la regardait avec méfiance. Ses yeux rouges toisaient le regards pâle de la jeune fille. Son regarde fini son chemin sur ses jambes. Elles étaient bandées et quelque tâche de sang, du à la réouverture des plais, ce fessais voire. Elle laissa son regarde, sans gêne, toisé les jambes de son interlocutrice.
" Je pense vous avoir posez la question, avant, je me trompe ?!
[ ... ]

- Eh bioen, puisque vous êtes si impatient, je vais vous répondre ! Je veillais tout simplement sur une amie à son chevet. Maintenant, c'est à vous de me répondre ! Qui êtes-vous ?
Ma voix retrouvait peu à peu sa tonalité normale. Mais, petit problème, mes jambes me faisaient à nouveau mal. Je n'ai pas envie de garder des bandages infiniment...En plus, je suis pas beaucoup habillée <.<''' Je n'ai pas changé de tenue depuis que j'ai quitté ma chambre ! Mais pour l'instant, ce n'est pas à moi que je dois penser : Shinji meurt petit à petit, et le pire, c'est que je ne peux rien faire.... Je suis vraiment inutile...

"Je suis simplement son frère jumeaux.
Un silence tomba sur les deux jeunes. Il vit, que Aiko commençait a fatiguer, alors dans un geste très gracieux il la souleva et la posa sur la chaise de la chambre de Shinji.
Après cela, il se mis a genoux au chevet de sa sœur. Ces larmes coulèrent sur ces joues. Il enfouis son visage dans les mains de sa sœur .
"-Shinji, cela fait 14 ans que je ne t'ai pas vue, et c'est dans ce lit que je te retrouves, coincé entre la vie et la mort ? Mais pourquoi a chaque fois, que je te vois, tu es blessé ou entre vie et mort ?! Pourquoi !!! Pourquoi je n'ai pas une sœur normale ?! cria t-il dans un ton de désespoir. Shinji, je t'aime .. Je t'aime tellement Je donnerais ma vie pour que tu vives ! Je tiens à toi comme je tiens a ma vie ! Tu es ma vie! Shinji !! "
Il s'effondra en pleure.

Quand le frère jumeaux que Shinji pleurait, cette dernière bougea lentement sa main. Les visages de nos deux acolytes se levaient en synchronisation. Mais pourtant Shinji gardais les yeux fermés ...

J'étais restée totalement abasourdie, même au moment où son fameux frère jumeaux pleurait. Je voulais moi aussi pleurer, mais cela faisait tellement longtemps que je pleurais que je ne pouvais plus verser de larmes. Mais la réaction de Shinji, à ce moment précis, agis comme un stimulant sur moi.
- Shinji, Shinji !!!! criais-je, retrouvant totalement ma voix initiale.
La machine à pulsations s'accélérait, petit à petit....Mais n'allait pas à un niveau suffisant, son cœur était encore faible !
- Je t'en pris Shinji, reste ici ! Penses à Keita, et à Izumi ! Penses à ton frère ! Et pense...à moi...
Les médecins étaient accouru, examinant la jeune fille encore inconsciente. Ils lui faisait des piqûres faisaient tout leur possible... et le jumeaux et moi, nous restions là, sans pouvoir prononcer un mot, attendant avec impatience et avec appréhension le résultat de tous ces efforts...

Ma conscience n’est plus de ce monde. Elle ne répond plus à mes appelles et je n’ai plus la capacité à réfléchir. Mais pourtant, je savais qu’on m’appelait !! Je voulais répondre, mais je ne pouvais rien faire, coincé dans ce monde rempli que d’une seule couleur : Le noire !

Après l’apparition de ce fameux frère jumeau deux mois c’était écoulé. Aiko, avait vu les parents de Shinji.
La jeune fille ne répondait, toujours pas. Les médecins, ne pouvais la laisser souffrir.
Une nuit, la Lune buvait, avidement le ciel noir, se qui annoncerais un jour de pluie et un de plus ! Mais pourtant, ce soir là, la Lune et les étoiles étaient magnifique. Aiko n’avait pas fermé les volets donc les rayons de la lune reflétaient sur le visage pâle et livide de Shinji. Depuis tous se temps, ces cheveux avaient repoussé, mais cela n’importait peu !

LUMIERE !!!!

Elle ouvrit les yeux ! Avec force et hargne elle ouvrit les yeux !! Elle en pleurait ! Ces yeux, bleu étaient gris au rayons de la Lune. Elle la voyait, cette Lune !! Celle qu’elle avait temps vu dans ces rêves endormis ! Elle l’avait fait !! Elle s’était éveillée !!

« Je … Su … uis .. là … Aiko … »
Ce fut les seul mots qu’elle put prononcer. Aiko n’en croyait pas ces yeux. Elle resta planté là …

- Shinji, Shinji !!!! Ça y est, tu es là !!
J'avais tellement crié que quelques infirmières avaient pénétré dans la chambre. Tout le monde était à la fois surpris et heureux. Certaines de ces infirmières étaient parties en se précipitant sur le téléphone de service, prévenant les parents de Shinji qui s'attendaient à de mauvaises nouvelles. Quelle fut donc leur surprise quand ils entendirent ces mots ! Leur fille, qui n'avait presque plus d'espoir de guérison, était enfin revenu de ce monde de vide et de ténèbres !
Moi, je ne quittait à présent plus du tout cette chambre. L'état de Shinji s'améliorait peu à peu après tout ces mois critiques. Ses parents aussi venaient la voir. Sa mère ne cessait de l'embrasser.
Plus tard, alors qu'il ne restait plus que moi et Shiji dans cette chambre jusqu'à présent remplie d'agitation, nous nous parlions l'une à l'autre.
- Shinji, comment est-ce que tu te sentis pendant que tu étais encore...à demi morte ? é.è

Mon état s'améliorait de jour en jour et mes parents venaient de repartir pour les USA, après 6 mois qu'ils ont délaisser leur entreprise Multi-Mondiale.
Aiko, ne me quittait plus et les infirmière étaient toujours très gentille avec moi.
Alors qu'avec Aiko nous parlions, elle me posa une question, un peu ... Bizarre !

" Euh ... Je ne serais pas te le dire. Je n'ai pas beaucoup de souvenir de cette période. Je sais, que c'est noir et qu'il ni a aucun bruit. Je vous entendais, je voulais vous parlez, mais ma conscience n'était plus de se monde. C'est la galèèère !!! *rire* Et toi, tes jambes vont mieux ?"

- Bah en fait, j'ai raté toutes les consultations <.<'''' Il ont décidé de me mettre des plâtres, et ça m'embête ! >.< Je peux plus courir maintenant !
J'avais plusieurs fois essayé de trouver un marteau quelque part pour pouvoir casser ces choses qu'ils m'avaient mis sur les jambes, mais sans succès...Ouin !!!!

-Pourquoi tu n'as pas assisté à tes consultations ?

SA me fait rire de la voire avec ces plâtres la pauvre !!

- J'étais trop occupe à voir si t'allais bien ^^ Et puis aussi parce que j'avais pas envie, c'est pas marrant là-bas <.<''''

-Maintenant, va falloir que tu les faces !! Si tu n'i va pas je te forcerais !!!

- Mais nan euh !!!! >.< J'ai pas envie d'aller les voir pour qu'ils me disent que je dois garder les plâtres pendant tel nombre de semaines <.<' Et puis, je partirais pas tant que tu seras pas totalement guérie ! =P

Je lui souris.
" Aiko, je ne désire pas que tu restes à mes coté et que tu détruises ta santé pour moi. Je veux que tu ales les voire ! Je ne supporterais pas que tu te détruise pour moi !! Regarde je commence à marcher !! "

Je me leva du lit et fis quelque pas et resta debout.

- Moi, détruire ma santé ? Ça jamais ! Je suis pas mal résistante, t'en fais pas pour moi

Pour l'instant, c'est toi qui va le moins bien ^^ Et puis, c'est juste pour une révision de toute façon mouhahaha

C'est pas grave ^^
Je la vis alors marcher.
- Waou, tu marches déjà ! wah

C'est trop bien !!! youhou

-Je suis résistente !! N'oubli pas, je suis l'arrière arrière arrière petite fille de Kuroime Makkura ^^
Enfin bon ... Je veux que tu y alles !!

(

)

- Bon, si ça te fais tant plaisir <.<'''''''

-Je préfére entendre cela !!

Je lui souris ...

Enfin, voilà des souvenir qu'on ne peux effacer.

*fin des souvenirs*

- Pfou, que de souvenir ! Enfin bref.... Est-ce que y a quelque chose que vous voulez faire ???

-Désolée, mais moi je vais rentré au Lycée, me changer et tout !! :) On peu aller au Ciné après, si tu veux Aiko, Celio ?! :)

- Oui, si tu veux ! Moi j'en serais contente, ça fait longtemps que je n'y suis pas allé ! En plus, Cellio ne l'a pas ecore visité ^^

-Alors sa marche :)

( prochain poste Cinéma. On ne passe pas par les chambres et tous, on fera les tenus au Ciné :] )

- A tout de suite !!!
Je partis, en compagnie de Cellio, vers le lycée, pour ensuite aller au cinéma.
- Cellio, tu dis plus rien depuis tout à l'heure ! Ca va pas ? é.è

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